Cette cache ne peut être faite que de nuit !
Vous n'aurez pratiquement aucune chance de la trouver de jour.
Equipez-vous correctement pour une promenade en forêt de nuit et prenez une bonne lampe torche.
Faites attention où vous mettez les pieds, le sol n'est pas toujours plat.
Ne cherchez pas à traverser les plans d'eau éventuels !
Le parcours est en général sur un chemin, mais il peut y avoir des ornières sèches ou humides.
Aussi prévoyez des chaussures adaptées.
Il est déconseillé de faire cette cache seul et ce pour des raisons de sécurité.
Les coordonnées indiquées ne sont pas celles de la cache finale mais celles du point de départ près du parking.
A partir de là, suivez le chemin lumineux qui vous guidera jusqu'au trésor final.
La première luciole = "N°36" ?
La cache finale sera indiquée par la présence de deux réflecteurs superposés sur le même support.
Pensez à repérer votre chemin à l'aller pour pouvoir revenir : au retour les réflecteurs ne seront plus là pour vous aider.
Ceci est notre première cache de nuit, la balade fait environ 800m et cela ne devrait pas être trop compliqué si vous avez une bonne lampe torche.
N'hésitez pas à laisser des commentaires pour que je puisse améliorer le parcours si besoin.
Bonne balade et... bon courage !
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La légende :
"Patira, un petit orphelin saltimbanque, est recueilli chez Jean l’Enclume, un forgeron aussi violent que méchant, qui le destine à remplacer le chien qui actionne le soufflet de la forge. Dans le château de Coëtquen, Blanche, la simple et généreuse fille de marin devenue l’épouse du marquis Tanguy, subit la vengeance diabolique de ses beaux-frères, qui l’enferment au fond des oubliettes. Abandonnés de tous, les deux destins se rencontrent miraculeusement, et Patira, le petit malheureux opprimé au courage exemplaire, réconforte au mieux la prisonnière, qui lui confie la vie d’Hervé, son jeune fils. Patira est avant tout une œuvre émouvante. L’intérêt inspiré par le héros du livre, les circonstances dramatiques au milieu desquelles il se trouve jeté, tiennent plus d’une fois le lecteur haletant jusqu’à l’angoisse et l’épouvante. Patira, c’est l’être faible, méprisé, battu, trouvant tout à coup, en présence d’une infortune plus grande que la sienne, la force d’accomplir des miracles d’intelligence et de dévouement."
Les vestiges
du château de Coetquen
en
St Hélen