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À la découverte des Carmes Multi-cache

Hidden : 1/25/2019
Difficulty:
2 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

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Geocache Description:


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Disponible en Español - haga clic aquí :

 


Bienvenue dans les quartiers des Carmes et de la Dalbade, encerclés par la Garonne, la rue de Metz, le quartier Saint-Étienne et le quartier des Salins. Maisons anciennes de briques, de bois et de pierres, commerces, cafés et restaurants indépendants, curiosités architecturales, qu’il est bon de flâner dans la rue des Filatiers et le long du quai de Tounis, de se poser à la terrasse d’un café de la place de la Trinité, avant de commencer une nouvelle Multi toulousaine dans ces quartiers de la ville rose.

Je vous propose donc une cache type Multi qui vous fera faire le tour du quartier, en observant les nombreuses curiosités emblématiques des quartiers des Carmes et de la Dalbade. Comme toutes les Multis de la série, une description du patrimoine à chaque Waypoint viendra égayer vos découvertes et vos recherches d’indices. Mais pour les encore-plus curieux, n’hésitez pas à aller feuilleter les pages du génial livre Toulouse, secret et insolite - Les trésors cachés de la ville rose, de C. Clément et S. Ruiz, pour découvrir l’histoire de tous les bâtiments et curiosités architecturales que vous allez découvrir avec cette Multi.

La Multi ne pose aucune difficulté de terrain, les bâtiments visités sont tous situés dans un périmètre restreint. Un bon géocacheur aura parcouru les différents lieux et réuni tous les indices en moins d’une demi-heure. Un astérisque indiquera pour chaque Waypoint s’il est possible d’entrer dans le bâtiment (aux horaires d’ouverture), chose (vraiment) intéressante à faire mais pas nécessaire pour la résolution des questions. Tous les Waypoints sont en effet situés à l’extérieur des bâtiments afin de privilégier une balade à toute heure de la journée. De plus, les questions pour chaque Waypoint sont relativement simples, pour vous éviter une énième balade si le checker vire au rouge. Vous trouverez de nombreux autres bâtiments et curiosités historiques dans le quartier, les Waypoints ne sont évidemment pas exhaustifs, alors levez la tête et ouvrez les yeux !

 

Commencez votre périple, 11 Waypoints vous attendent !

WP1 – La fontaine de la Place de la Trinité N 43° 35.985 E 001° 26.637

Située sur la place du même nom, la fontaine de la Trinité fut la première d’où l’on vit jaillir des gerbes ornementales. Érigée en 1826 par Urbain Vitry, le monument permettait de livrer de l’eau aux habitants du quartier. Les marches circulaires sont en pierre de Carcassonne, tandis qu’au milieu du bassin, le socle triangulaire aux pans incurvés est en marbre blanc de Saint-Béat. Sur le socle sont posées des figures féminines, des sirènes ailées en bronze, aux corps finement modelés et aux voiles transparents. De nos jours, nous imaginons les sirènes mi-femme mi-poisson. Mais dans l’Antiquité grecque, les sirènes étaient des créatures mi-femme mi-oiseau. Ce n’est qu’à partir du Moyen Âge qu’elles sont représentées avec une queue de poisson. Combien comptez-vous de sirènes ? Profitons d’être sur la place pour observer le n°57 de la rue des Filatiers. Combien comptez-vous de portraits sur les balcons ? Regardez désormais à gauche, combien de niveaux comptent le magnifique oriel de l’immeuble avec une tendance Art Nouveau construit vers 1905 ? Additionnez les trois nombres trouvés.

WP2 – Le pendu des Filatiers N 43° 35.966 E 001° 26.636

Vous êtes devant la maison de Jean Calas, commerçant protestant de Toulouse au XVIIIe siècle. Cette maison décorée de bois sculptés fut le lieu d’un drame familial que le jugement du parlement de Toulouse transforma en véritable tragédie. Le drame fut présenté comme un « meurtre calviniste » au cours duquel le père, voulant empêcher son fils de se convertir au catholicisme, l’aurait pendu. Le vieux Calas, coupable idéal, fut condamné à mort. Le 10 mars 1762, il fut rompu vif sur la roue place Saint-Georges, devant une foule immense, et mourut sans avoir avoué. Voltaire, grâce à sa lutte acharnée, fit entrer l’affaire Calas dans l’histoire, tout comme le ferait Zola au siècle suivant avec l’affaire Dreyfus. Le 9 mars 1965, il obtint enfin la réhabilitation de Jean Calas. Ce fuft l’un des plus combats de ce philosophe des Lumières. Il lui inspira ces mots d’espoir dans sont Traité sur la tolérance : « Il y a donc de l’humanité et de la justice chez les hommes… Je sème un grain qui pourra un jour produire une moisson. » En quelle année fut retrouvé le cadavre de Marc-Antoine Calas ?

WP3 – Une nouvelle station de métro N 43° 35.956 E 001° 26.565

Tiens donc ! Une nouvelle station de métro au croisement de la rue des Paradoux et de la rue du Coq d’Inde. Leurs noms viennent respectivement des pareurs de draps (parador en occitan), et d’une auberge du XVIIIe siècle qui avait pour enseigne un « coq d’Inde », c’est-à-dire un dindon. Une plaque figure sur le mur de l’angle des deux rues. Quel est le nom de la station (mot en majuscule) ? Remplacez chaque lettre par son chiffre équivalent dans l’alphabet. Calculez ensuite la racine numérique.

[Petite aide pour les non-matheux ! La racine numérique d’un nombre est obtenue en additionnant les valeurs associées à chacun de ses chiffres, puis on reprend le processus avec les valeurs associées aux chiffres du nombre obtenu et ainsi de suite jusqu’à ce qu’il ne reste qu’un seul chiffre. Prenons le nombre 4589. 4 + 5 + 8 + 9 = 26 et 2 + 6 = 8. La racine numérique de 4589 est 8.]

WP4 – L’extravagance de l’Art brut N 43° 35.936 E 001° 26.564

Au n°27 de la rue des Paradoux, des balcons semblent être le lieu de l’expression artistique. De nombreuses sculptures et décorations ornent les fenêtres avec un certain naturel. Combien de masques de théâtre sculptés pouvez-vous compter entre les deux fenêtres ?

WP5 – Drôle de vigile N 43° 35.906 E 001° 26.650

À l’angle de la rue des Filatiers et de la rue Jouxt-Aigues, une sculpture semble veiller à l’aide de sa caméra moderne sur les passants de la rue commerçante et animée des Carmes. Cette rue correspond à l’ancien cardo maximus de la cité romaine de Toulouse. Elle est, au Moyen Âge, une partie de la Grand-rue, axe structurant de la ville médiévale : les artisans du textile (filatiers, boutonniers, chaussetiers, couturiers, gantiers, perruquiers ou encore brodeurs) y sont nombreux. À partir du XVIe siècle, les orfèvres y deviennent aussi plus nombreux. Que représente cette sculpture ? 1- un avion, 2- un chat, 3- un bonhomme, 4- une fleur.

WP6 – Rue lapidaire N 43° 35.908 E 001° 26.705

Entre les rues du Languedoc et des Filatiers, cette ruelle de traverse demeure à l’écart de l’agitation. On peut s’y attarder à loisir et chercher à percer le mystère des pierres sculptées dressées contre le mur d’une maison. Elles ressemblent à ces bouteroues, bornes familières si nombreuses dans le vieux Toulouse. Placées devant les piédroits des portes cochères, elles les protégeaient des coups portés par les essieux lors du passage des carrosses. Les sculptures devant vous datent de 1954, et sont ici l’œuvre de Monsieur Bellefon, ancien habitant au n°18, personnage « philosophe et bohème », peintre et sculpteur. Combien comptez-vous de bornes sculptées ? Placée sous le signe de la sculpture, la rue Maletache réserve d’autres surprises… Combien d’enfants comptez-vous au-dessus de la porte du n°12 ? Quel animal est représenté sur la porte du n°1 ? 1- un sanglier, 2- un aigle, 3- un chien, 4- un dragon. Additionnez les trois nombres trouvés.

WP7 – Apocalypse sur la ville N 43° 35.887 E 001° 26.653

Vous vous situez devant une maison à pans de bois historique. En effet, Toulouse n’a pas toujours été vêtue de rose ! Au Moyen Âge, seuls les édifices religieux et les maisons des riches bourgeois étaient en brique. Comme dans toute l’Europe, on construisait en bois et en torchis. Cette maison, propriété du maître d’orfèvre Hélie Gérauld, en est un bel exemple. Cette ville terreuse, où les maisons en encorbellement s’entassaient dans des ruelles étroites, subit au cours des siècles de nombreux incendies. Celui du 7 mai 1463 anéantit près des deux tiers de la vieille cité. Le feu prit dans le four d’un boulanger de la rue Maletache. Poussé vers le nord-ouest par le vent d’autan, il dévora durant douze jours plus de 7000 habitations. Toulouse devint un gigantesque chantier, où s’affairaient désormais massonniers et peyriers, maniant la brique et la pierre. En vingt-cinq ans seulement, elle fut reconstruite et métamorphosée. Au XVIe siècle, des veilleurs furent postés en haut des clochers, prêts à sonner l’alarme. Les auvents de bois des toitures, puis les étages en saillie furent interdits. On imposa des murs mitoyens en brique surplombant les toits. On prohiba l’emploi des pans de bois. Toutes ces mesures furent peu respectées. Alors qu’on se battait contre les flammes avec des moyens dérisoires – seaux et seringues de laiton pour projeter l’eau –, l’obligation de ramoner les cheminées n’apparut qu’en 1733. La maison d’Hélie Gérauld est-elle une relique rescapée de l’incendie ou bien une reconstruction ilégale ? Allez savoir… En quelle année Hélie Gérauld a-t-il acquis cette maison à pans de bois ?

WP8 – Le fantôme des Grands-Carmes N 43° 35.874 E 001° 26.656

En débouchant de l’antique rue des Filatiers sur la place des Carmes, on se trouve face à ce qui ressemble à un énorme pâté sorti du seau de plage de quelque enfant géant. Ce cylindre de béton de 52 mètres de diamètre, dont le plancher en spirale s’enroule autour d’un noyau creux sur une hauteur de 21 mètres, abrite un marché surmonté d’un parking. Projet conçu en 1963 par l’architecte Georges Candilis, auteur de la ZUP du Mirail, cette réalisation cherche à s’intégrer au cœur même du Vieux Toulouse. Le quadrilatère de 5000 m² correspondant à cet emplacement était autrefois occupé par l’immense couvent des Grands-Carmes, construit entre le XIIIe siècle et le XVe siècle. Cette véritable cité monastique, qui comportait une vaste église, une chapelle, deux cloîtres et des bâtiments domestiques, a été engloutie lors de grands travaux en 1809. Quelques très rares vestiges de sculptures subsistent, dont quelques-uns exposés au musée des Augustins. Malgré le peu de documents conservés, de nombreux auteurs ont loué l’originalité et la monumentalité de l’architecture du couvent. Le décor sculpté du portail de l’église, qui s’ouvrait sur la grande rue des Carmes, devait être d’une richesse exceptionnelle. Un petit miracle eut cependant lieu lorsqu’une main anonyme sauva du naufrage une minuscule sculpture de pierre. Elle proviendrait vraisemblablement de ce portail. Elle fut insérée dans le mur de la façade d’une maison datée de 1821, à l’angle de la rue des Filatiers et de la place des Carmes. Petit fantôme d’un passé oublié, à l’expression sereine et intemporelle, il domine les terrasses des cafés et semble veiller discrètement sur cette place qui, malgré tant d’avatars, a su rester un lieu plein de vie. Que représente ce petit fantôme sculpté ? 1- un chien, 2- un chat, 3- un singe, 4- un homme.

[ici, profitez-en pour monter en haut du parking des Carmes et admirer la vue sur les toits toulousains]

WP9* – La nuit du grand fracas N 43° 35.879 E 001° 26.566

Vous êtes désormais dans le quartier de la Dalbade, face à l’église Notre-Dame-de-la-Dalbade. Église tristement célèbre, par son clocher le plus élevé de Toulouse, 81 mètres diront les uns, 84 mètres pour les autres, ou encore 86 mètres pour les plus vantards. Toujours est-il que le clocher de la basilique Saint-Sernin s’élève à 67 mètres. Et pourtant, par une belle nuit de printemps, le ciel tomba sur la tête des habitants du quartier de la Dalbade. Dans un bruit formidable, le clocher mastodonte s’effondra. On savait cette tour trop audacieuse sujette depuis longtemps à des désordres architecturaux… Le modeste sanctuaire dédié à Notre-Dame était devenu au XVIe siècle une vaste église gothique à nef unique, digne des riches parlementaires qui la fréquentaient. Sancta Maria Dealbata, Notre-Dame-la-Blanche, la pure, badigeonnée à l’intérieur de lait de chaux, n’avait rien à envier à son opulente grande sœur toute proche, Sancta Maria Deaurata, la Dorée (la Daurade). Son imposant donjon, inspiré de celui de la cathédrale d’Albi, a été achevé au XVIIe siècle. Il fut ensuite couronné d’une flèche, puis en 1882, on reconstruisit la pointe abbatue pendant la Révolution, alourdissant un ensemble déjà fragilisé. Quarante ans plus tard, cette ultime poussée d’orgueil lui fut finalement fatale. Restaurée entre 1927 et 1949, la Dalbade est revenue à plus de modestie. Sa tour arasée à la silhouette massive n’est plus que l’ombre d’elle-même. Comment s’appelaient les époux Denax, patrons boulangers, mort lors de l’effondrement du clocher ? 1- Michel et Sylvette, 2- Jacques et Claudette, 3- Patrick et Armelle, 4- Pascal et Anne.

WP10 – Croix de foi, croix de fer… N 43° 35.842 E 001° 26.534

Bienvenue devant l’Hôtel des Chevaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem, direction régionale des Affaires culturelles. Une élégante façade, digne des palais romains, témoigne de la puissance de l’ordre des hospitaliers au XVIIe siècle, implanté entre les églises de la Dalbade et de Saint-Rémi depuis le XIIe siècle. On trouvait à l’origine des hospitaliers, dont leur vocation était de « servir nos seigneurs les malades », des moines installés à Jérusalem qui accueillaient les pèlerins et soignaient les malades, devenus moines soldats à l’instar des templiers. La croix blanche à huit pointes qu’ils portaient sur leur robe noire resta l’emblème de leur ordre religieux. Combien de merlettes (plus ou moins intactes) comptez-vous sur la façade principale ?

WP11 – Un culot monumental N 43° 35.817 E 001° 26.540

On demeure stupéfait devant ce palais imposant dont la débauche ornementale et la blancheur tranchent sur l’alignement des immeubles de brique. L’édifice frappa tant les esprits de son époque qu’on le nomma l’Hôtel de pierre. Derrière cette façade très théâtrale, l’ancien hôtel de Jean de Bagis, président au parlement, offre par contraste une belle sobriété. Construit en 1537 par Nicolas Bachelier autour d’une cour intérieure sur le modèle des palais italiens, il appartenu en 1602 à Nicolas de Guerrier, apothicaire fortuné, qui revint ensuite à François de Clary, auquel il avait marié l’une de ses filles, Gabrielle. Les époux Clary, trouvant l’hôtel Renaissance bien modeste à leur goût, rêvaient d’un édifice grandiose à la mesure de leur réussite sociale. Les capitouls autorisèrent le projet, dont le faste allait contribuer avantageusement à « l’ornement de la ville. » On a dit que les pierres et les marbres utilisés provenaient d’éléments antiques découverts dans la Garonne, lors de la rupture de la chaussée du Bazacle en 1613. Destinés à la construction du Pont Neuf, ces matériaux auraient été subtilisés par François de Clary, ce qui a fait dire aux Toulousains : « Il y a plus de pierres du pont à l’Hôtel de pierre que de pierres au pont. » Combien pouvez-vous compter de lions et soleils dans la partie supérieure de la façade ? Additionnez ces deux chiffres. Quelles dates pouvez-vous lire en chiffres romains aux deux extrémités du bâtiment ? Soustrayez celle de droite avec celle de gauche. Retournez-vous enfin, et notez le nombre au repère de nivellement au-dessus du niveau de la mer. Additionnez ces trois nombres trouvés.

 

Coordonnées finales :

N 43° 35.(((WP1+WP2+WP3+WP4+WP5+WP6)+673)/3)

E 001° 26.(((WP7+WP8+WP9+WP10+WP11)+211)/4)

 

N’hésitez pas à utiliser le Géochecker !

 

Afin d’assurer la pérennité de cette cache, replacez-la bien où vous l’avez trouvé, et surtout, restez discrets. Bon Géocaching !

 


Welcome to the Carmes and Dalbade districts, surrounded by the Garonne, the rue de Metz, the Saint-Etienne district and the Salins district. Old brick, wood and stone houses, shops, independent cafés and restaurants, architectural curiosities, that it is good to stroll in the rue des Filatiers and along the quai de Tounis, to settle down at the terrace of a café in the place de la Trinité, before starting a new Toulouse Multi in these districts of the pink city.

I thus propose you a Multi type hiding place which will make you go around the district, while observing the many emblematic curiosities of the districts of the Carmes and the Dalbade. Like all the Multis in the series, a description of the heritage at each Waypoint will brighten up your discoveries and your search for clues. But for the even more curious, don't hesitate to browse through the pages of the brilliant book Toulouse, secret et insolite - Les trésors cachés de la ville rose, by C. Clément et S. Ruiz, to discover the history of all the buildings and architectural curiosities that you will discover with this Multi.

The Multi does not pose any difficulty of ground, the visited buildings are all located in a restricted perimeter. A good geocacher will have gone through the different places and gathered all the clues in less than half an hour. An asterisk will indicate for each Waypoint if it is possible to enter the building (during opening hours), something (really) interesting to do but not necessary for the resolution of questions. All Waypoints are indeed located outside the buildings in order to favour a walk at any time of the day. Moreover, the questions for each Waypoint are relatively simple, to save you another walk if the checker turns red. You will find many other buildings and historical curiosities in the area, the Waypoints are obviously not exhaustive, so look up and open your eyes !

 

Start your journey, 11 Waypoints are waiting for you !

WP1 - Trinity Square Fountain N 43° 35.985 E 001° 26.637

Located in the square of the same name, the Fountain of the Trinity was the first from which ornamental sprays gushed forth. Erected in 1826 by Urbain Vitry, the monument was used to deliver water to the inhabitants of the district. The circular steps are made of Carcassonne stone, while in the middle of the basin, the triangular base with curved sides is made of white Saint-Béat marble. On the base are female figures, bronze winged mermaids with finely modelled bodies and transparent veils. Nowadays, we imagine mermaids half woman half fish. But in Greek Antiquity, mermaids were half-bird and half-woman creatures. It is only from the Middle Ages onwards that they are represented with the tail of a fish. How many mermaids do you count ? Let's take advantage of being on the square to observe the n°57 of the rue des Filatiers. How many portraits do you count on the balconies ? Now look to the left, how many levels do you count the magnificent oriel of the building with an Art Nouveau tendency built around 1905 ? Add up the three numbers found.

WP2 - The hanged man of the Filatiers N 43° 35.966 E 001° 26.636

You are in front of the house of Jean Calas, a Protestant merchant from Toulouse in the 18th century. This house decorated with carved wood was the scene of a family drama that the judgment of the Toulouse parliament turned into a real tragedy. The drama was presented as a "Calvinist murder" during which the father, wanting to prevent his son from converting to Catholicism, hanged him. Old Calas, the ideal culprit, was sentenced to death. On March 10, 1762, he was broken alive on the wheel in St. George's Square, in front of a huge crowd, and died without confessing. Voltaire, thanks to his relentless struggle, made the Calas affair go down in history, just as Zola would do in the following century with the Dreyfus affair. On March 9, 1965, he finally obtained the rehabilitation of Jean Calas. This fuft was one of the greatest battles of this philosopher of the Enlightenment. He inspired him with these words of hope in his Treatise on Tolerance: "There is humanity and justice among men... I sow a seed that may one day produce a harvest." In what year was the corpse of Mark Antony Calas found ?

WP3 - A new metro station N 43° 35.956 E 001° 26.565

How about that ! A new metro station at the crossroads of rue des Paradoux and rue du Coq d'Inde. Their names come respectively from the sheet trimmers (parador in Occitan), and from an 18th century inn which had a "coq d'Inde", i.e. a turkey, as its sign. There is a plaque on the wall at the corner of the two streets. What is the name of the station (word in capital letters) ? Replace each letter with its equivalent number in the alphabet. Then calculate the numeric root.

[A little help for the non-mathletes ! The numeric root of a number is obtained by adding up the values associated with each of its digits, then the process is repeated with the values associated with the digits of the resulting number, and so on until only one digit remains. Let's take the number 4589. 4 + 5 + 8 + 9 = 26 and 2 + 6 = 8. The numerical root of 4589 is 8.]

WP4 - The Extravagance of Art Brut N 43° 35.936 E 001° 26.564

At n°27 of the rue des Paradoux, balconies seem to be the place of artistic expression. Numerous sculptures and decorations decorate the windows with a certain naturalness. How many sculpted theatre masks can you count between the two windows ?

WP5 - Funny kind of security guard N 43° 35.906 E 001° 26.650

At the corner of rue des Filatiers and rue Jouxt-Aigues, a sculpture seems to watch with its modern camera over the passers-by in the lively shopping street of Les Carmes. This street corresponds to the ancient cardo maximus of the Roman city of Toulouse. In the Middle Ages, it was part of the Grand-Rue, the structural axis of the medieval city : the textile craftsmen (spinners, button makers, shoemakers, dressmakers, glove-makers, wig-makers and embroiderers) were numerous there. From the 16th century onwards, goldsmiths also became more numerous. What does this sculpture represent ? 1- a plane, 2- a cat, 3- a man, 4- a flower

WP6 - Lapidary Street N 43° 35.908 E 001° 26.705

Between the streets of Languedoc and Filatiers, this side street remains away from the hustle and bustle. One can linger there at leisure and try to unravel the mystery of the sculpted stones standing against the wall of a house. They resemble those bouteroues, familiar landmarks so numerous in old Toulouse. Placed in front of the doorways of the carriage gates, they protected them from the blows caused by the axles when the carriages were passing by. The sculptures in front of you date from 1954, and are here the work of Mr Bellefon, a former inhabitant of n°18, "philosopher and bohemian" character, painter and sculptor. How many sculpted milestones do you have ? Placed under the sign of sculpture, the rue Maletache has other surprises in store for you... How many children do you count above the door at n°12 ? Which animal is represented on the door of n°1 ? 1- a boar, 2- an eagle, 3- a dog, 4- a dragon. Add up the three numbers found.

WP7 - Apocalypse over the city N 43° 35.887 E 001° 26.653

You are standing in front of a historic timber-framed house. Indeed, Toulouse was not always dressed in pink ! In the Middle Ages, only religious buildings and the houses of the rich bourgeois were made of brick. As in the whole of Europe, they were built in wood and mud. This house, owned by the master goldsmith Hélie Gérauld, is a fine example of this. This earthy town, where corbelled houses piled up in narrow streets, has suffered many fires over the centuries. The fire of 7 May 1463 destroyed almost two thirds of the old town. The fire started in the oven of a baker in the rue Maletache. Pushed towards the northwest by the autan wind, it devoured more than 7000 houses for twelve days. Toulouse became a gigantic construction site, where masons and peyriers were now busy handling brick and stone. In only twenty-five years, it was rebuilt and metamorphosed. In the 16th century, watchmen were posted at the top of the bell towers, ready to sound the alarm. The wooden canopies of the roofs and then the projecting floors were forbidden. The brick party walls overhanging the roofs were imposed. The use of timber framing was prohibited. All these measures were little respected. While the fire was fought against with derisory means - buckets and brass syringes to project water - the obligation to sweep the chimneys did not appear until 1733. Is Hélie Gérauld's house a relic that survived the fire or an illegal reconstruction ? Who knows... In what year did Hélie Gérauld acquire this half-timbered house ?

WP8 - The Phantom of the Great Carmes N 43° 35.874 E 001° 26.656

When you come out of the ancient rue des Filatiers on the Place des Carmes, you are facing what looks like a huge pâté coming out of some giant child's beach bucket. This 52-metre diameter concrete cylinder, whose spiral floor winds around a hollow core to a height of 21 metres, houses a market topped by a car park. Designed in 1963 by the architect Georges Candilis, author of the ZUP du Mirail, this project seeks to integrate into the very heart of Old Toulouse. The 5000 m² quadrilateral corresponding to this site was once occupied by the immense Grands-Carmes convent, built between the 13th and 15th centuries. This veritable monastic city, which included a vast church, a chapel, two cloisters and domestic buildings, was swallowed up during major works in 1809. Some very rare remains of sculptures remain, some of which are on display in the Musée des Augustins. Despite the few documents preserved, many authors have praised the originality and monumentality of the convent's architecture. The sculpted decoration of the church portal, which opened onto the main street of the Carmelites, must have been of exceptional richness. However, a small miracle occurred when an anonymous hand saved a tiny stone sculpture from the shipwreck. It probably came from this portal. It was inserted in the wall of the facade of a house dated 1821, at the corner of the rue des Filatiers and the place des Carmes. A small ghost of a forgotten past, with a serene and timeless expression, it dominates the café terraces and seems to discreetly watch over this square which, despite so many avatars, has remained a place full of life. What does this little sculpted ghost represent ? 1- a dog, 2- a cat, 3- a monkey, 4- a man

[here, take the opportunity to climb to the top of the parking lot of Les Carmes and admire the view of the rooftops of Toulouse]

WP9* - The night of the great crash N 43° 35.879 E 001° 26.566

You are now in the Dalbade district, opposite the church Notre-Dame-de-la-Dalbade. Sadly famous church, by its bell-tower the highest in Toulouse, 81 meters will say the ones, 84 meters for the others, or 86 meters for the most boastful. Still, the bell tower of the Saint-Sernin basilica rises to 67 metres. And yet, on a beautiful spring night, the sky fell on the heads of the inhabitants of the Dalbade district. In a tremendous noise, the mastodon bell tower collapsed. The modest sanctuary dedicated to Our Lady had become in the 16th century a vast Gothic church with a single nave, worthy of the rich parliamentarians who frequented it. Sancta Maria Dealbata, Our Lady the White, the pure, whitewashed inside with whitewash, had nothing to envy her opulent older sister, Sancta Maria Deaurata, the Golden One (the Bream). Its imposing keep, inspired by that of Albi Cathedral, was completed in the 17th century. It was then crowned with an arrow, and in 1882 the point was rebuilt, which was demolished during the Revolution, making an already weakened ensemble heavier. Forty years later, this final surge of pride was finally fatal. Restored between 1927 and 1949, Dalbados returned to more modesty. Its levelled tower with its massive silhouette is only a shadow of its former self. What were the names of the spouses Denax, bakers' bosses, who died when the bell tower collapsed ? 1- Michel and Sylvette, 2- Jacques and Claudette, 3- Patrick and Armelle, 4- Pascal and Anne

WP10 - Cross of faith, iron cross... N 43° 35.842 E 001° 26.534

Welcome in front of the Hotel des Chevaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem, Regional Directorate of Cultural Affairs. An elegant façade, worthy of Roman palaces, bears witness to the power of the hospitaller order in the 17th century, established between the churches of La Dalbade and Saint-Rémi since the 12th century. There were originally hospitallers, whose vocation was to "serve our lords the sick", monks settled in Jerusalem who welcomed pilgrims and cared for the sick, who became soldier monks like the Templars. The eight-pointed white cross they wore on their black robes remained the emblem of their religious order. How many merlets (more or less intact) do you count on the main façade ?

WP11 - A monumental base N 43° 35.817 E 001° 26.540

One remains stunned in front of this imposing palace whose ornamental debauchery and whiteness stands out against the alignment of the brick buildings. The building struck the spirits of its time so much that it was named the Stone Hotel. Behind this very theatrical facade, the former hotel of Jean de Bagis, president of the parliament, offers by contrast a beautiful sobriety. Built in 1537 by Nicolas Bachelier around an inner courtyard on the model of the Italian palaces, it belonged in 1602 to Nicolas de Guerrier, a wealthy apothecary, who later returned to François de Clary, to whom he had married one of his daughters, Gabrielle. The Clary couple, finding the Renaissance Hotel very modest to their taste, dreamed of a grandiose building that would match their social success. The capitulants authorized the project, whose splendor would contribute advantageously to the "ornament of the city. "It has been said that the stones and marbles used came from ancient elements discovered in the Garonne, when the Bazacle causeway was broken in 1613. Intended for the construction of the Pont Neuf, these materials would have been stolen by François de Clary, which made the people of Toulouse say: "There are more stones from the bridge at the Hôtel de Pierre than there are stones at the bridge." How many lions and suns can you count in the upper part of the façade ? Add those two numbers together. What dates can you read in Roman numerals at both ends of the building ? Subtract the one on the right from the one on the left. Finally, turn around and write down the number at the marker above sea level. Add up the three numbers you find.


Final coordinates :

N 43° 35.((WP1+WP2+WP3+WP4+WP5+WP6)+673)/3)

E 001° 26.(((WP7+WP8+WP9+WP10+WP11)+211)/4)


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In order to ensure the durability of this cache, put it back where you found it, and above all, remain discreet. Happy Geocaching !

 


Bienvenidos a los barrios de Carmes y Dalbade, rodeados por el Garona, la rue de Metz, el barrio de Saint-Etienne y el barrio de Salins. Casas antiguas de ladrillo, madera y piedra, tiendas, cafés y restaurantes independientes, curiosidades arquitectónicas, que es bueno pasear por la rue des Filatiers y a lo largo del quai de Tounis, para instalarse en la terraza de un café en la plaza de la Trinité, antes de empezar un nuevo Toulouse Multi en estos barrios de la ciudad rosa.

Le propongo pues un escondite multitipo que le hará recorrer el barrio, observando las numerosas curiosidades emblemáticas de los barrios del Carmes y del Dalbade. Como todos los Multis de la serie, una descripción del patrimonio en cada Waypoint alegrará tus descubrimientos y tu búsqueda de pistas. Pero para los más curiosos, no duden en hojear las páginas del brillante libro Toulouse, secret et insolite - Les trésors cachés de la ville rose, de C. Clément y S. Ruiz, para descubrir la historia de todos los edificios y curiosidades arquitectónicas que descubrirás con este Multi.

El Multi no plantea ninguna dificultad de terreno, los edificios visitados están todos situados en un perímetro restringido. Un buen geocaché habrá recorrido los diferentes lugares y recogido todas las pistas en menos de media hora. Un asterisco indicará para cada Waypoint si es posible entrar en el edificio (durante el horario de apertura), algo (realmente) interesante de hacer pero no necesario para la resolución de las preguntas. Todas las balizas se encuentran fuera de los edificios para favorecer el paseo a cualquier hora del día. Además, las preguntas de cada baliza son relativamente simples, para ahorrarle otro paseo si la baliza se pone roja. Encontrarás muchos otros edificios y curiosidades históricas en la zona, las balizas no son obviamente exhaustivas, ¡ así que mira hacia arriba y abre los ojos !

 

¡ Comienza tu viaje, 11 balizas te están esperando !

WP1 - Fuente de la Plaza de la Trinidad N 43° 35.985 E 001° 26.637

Situada en la plaza del mismo nombre, la Fuente de la Trinidad fue la primera de la que brotaron chorros ornamentales. Erigido en 1826 por Urbain Vitry, el monumento fue utilizado para entregar agua a los habitantes del distrito. Los escalones circulares son de piedra de Carcassonne, mientras que en el centro de la cuenca, la base triangular con lados curvos es de mármol blanco de Saint-Béat. En la base hay figuras femeninas, sirenas aladas de bronce con cuerpos finamente modelados y velos transparentes. Hoy en día, nos imaginamos sirenas mitad mujer mitad pez. Pero en la antigüedad griega, las sirenas eran criaturas mitad pájaro y mitad mujer. Sólo a partir de la Edad Media se representan con la cola de un pez. ¿ Cuántas sirenas cuentas ? Aprovechemos que estamos en la plaza para observar el n°57 de la rue des Filatiers. ¿ Cuántos retratos cuenta en los balcones ? Ahora mire a la izquierda, ¿ cuántos niveles cuenta el magnífico mirador del edificio de tendencia Art Nouveau construido alrededor de 1905 ? Sume los tres números encontrados.

WP2 - El ahorcado de los Filatiers N 43° 35.966 E 001° 26.636

Está frente a la casa de Jean Calas, un mercader protestante de Toulouse del siglo XVIII. Esta casa decorada con madera tallada fue escenario de un drama familiar que el juicio del parlamento de Toulouse convirtió en una verdadera tragedia. El drama fue presentado como un "asesinato calvinista" durante el cual el padre, queriendo evitar que su hijo se convirtiera al catolicismo, lo ahorcó. El viejo Calas, el culpable ideal, fue sentenciado a muerte. El 10 de marzo de 1762, se le rompió vivo en la rueda en la Plaza de San Jorge, frente a una gran multitud, y murió sin confesar. Voltaire, gracias a su implacable lucha, hizo que el asunto de Calas pasara a la historia, al igual que Zola lo haría en el siglo siguiente con el asunto de Dreyfus. El 9 de marzo de 1965, finalmente obtuvo la rehabilitación de Jean Calas. Este fuft fue una de las mayores batallas de este filósofo de la Ilustración. Le inspiró estas palabras de esperanza en su Tratado de la Tolerancia: "Hay humanidad y justicia entre los hombres... Siembro una semilla que algún día puede producir una cosecha." ¿ En qué año se encontró el cadáver de Marco Antonio Calas ?

WP3 - Una nueva estación de metro N 43° 35.956 E 001° 26.565

¿ Qué te parece ? Una nueva estación de metro en el cruce de la rue des Paradoux y la rue du Coq d'Inde. Sus nombres provienen respectivamente de los recortadores de sábanas (parador en occitano), y de una posada del siglo XVIII que tenía como signo un "coq d'Inde", es decir, un pavo. Hay una placa en la pared en la esquina de las dos calles. ¿ Cuál es el nombre de la estación (palabra en mayúsculas) ? Reemplaza cada letra con su número equivalente en el alfabeto. Entonces calcula la raíz numérica.

[¡ Un poco de ayuda para los no deportistas ! La raíz numérica de un número se obtiene sumando los valores asociados a cada uno de sus dígitos, luego se repite el proceso con los valores asociados a los dígitos del número resultante, y así sucesivamente hasta que sólo quede un dígito. Tomemos el número 4589. 4 + 5 + 8 + 9 = 26 y 2 + 6 = 8. La raíz numérica de 4589 es 8.]

WP4 - La extravagancia del arte Brut N 43° 35.936 E 001° 26.564

En el n°27 de la rue des Paradoux, los balcones parecen ser el lugar de la expresión artística. Numerosas esculturas y decoraciones decoran las ventanas con cierta naturalidad. ¿ Cuántas máscaras de teatro esculpidas puedes contar entre las dos ventanas ?

WP5 - Divertido tipo de guardia de seguridad N 43° 35.906 E 001° 26.650

En la esquina de la rue des Filatiers y la rue Jouxt-Aigues, una escultura parece mirar con su cámara moderna a los transeúntes de la animada calle comercial de Les Carmes. Esta calle corresponde al antiguo cardo maximus de la ciudad romana de Toulouse. En la Edad Media, formaba parte de la Gran Calle, el eje estructural de la ciudad medieval: los artesanos textiles (hilanderos, botoneros, zapateros, modistos, guanteros, peluqueros y bordadores) eran numerosos allí. A partir del siglo XVI, los orfebres también se hicieron más numerosos. ¿ Qué representa esta escultura ? 1- un avión, 2- un gato, 3- un hombre, 4- una flor

WP6 - La calle lapidaria N 43° 35.908 E 001° 26.705

Entre las calles de Languedoc y Filatiers, esta calle lateral permanece alejada del ajetreo. Uno puede quedarse allí a gusto y tratar de desentrañar el misterio de las piedras esculpidas contra la pared de una casa. Se parecen a esas bouteroues, puntos de referencia familiares tan numerosos en la vieja Toulouse. Colocados frente a las puertas de los portones de los carruajes, los protegían de los golpes causados por los ejes cuando los carruajes pasaban. Las esculturas que están delante de ustedes datan de 1954, y son aquí la obra del Sr. Bellefon, antiguo habitante del n°18, personaje "filósofo y bohemio", pintor y escultor. ¿ Cuántos hitos esculpidos tienes ? Colocada bajo el signo de la escultura, la calle Maletache le reserva otras sorpresas... ¿ Cuántos niños cuenta sobre la puerta del n°12 ? ¿ Qué animal está representado en la puerta del nº 1 ? 1- un jabalí, 2- un águila, 3- un perro, 4- un dragón. Sume los tres números encontrados.

WP7 - Apocalipsis sobre la ciudad N 43° 35.887 E 001° 26.653

Estás parado frente a una histórica casa de madera. ¡ De hecho, Toulouse no siempre se vistió de rosa ! En la Edad Media, sólo los edificios religiosos y las casas de los ricos burgueses eran de ladrillo. Como en toda Europa, fueron construidos en madera y barro. Esta casa, propiedad del maestro orfebre Hélie Gérauld, es un buen ejemplo de ello. Esta ciudad terrenal, donde las casas de ménsula se apilan en calles estrechas, ha sufrido muchos incendios a lo largo de los siglos. El incendio del 7 de mayo de 1463 destruyó casi dos tercios del casco antiguo. El fuego se inició en el horno de un panadero en la calle Maletache. Empujado hacia el noroeste por el viento autóctono, devoró más de 7000 casas durante doce días. Toulouse se convirtió en una gigantesca obra de construcción, donde albañiles y peyriers se ocupaban ahora de manipular ladrillos y piedras. En sólo veinticinco años, fue reconstruido y metamorfoseado. En el siglo XVI, se colocaban vigilantes en lo alto de los campanarios, listos para dar la alarma. Las marquesinas de madera de los techos y luego los pisos salientes estaban prohibidos. Se impusieron las paredes de ladrillo de la fiesta que sobresalían de los techos. Se prohibió el uso de marcos de madera. Todas estas medidas fueron poco respetadas. Aunque el fuego se combatió con medios irrisorios - cubos y jeringas de latón para proyectar el agua - la obligación de barrer las chimeneas no apareció hasta 1733. ¿ La casa de Hélie Gérauld es una reliquia que sobrevivió al incendio o una reconstrucción ilegal ? Quién sabe... ¿ En qué año Hélie Gérauld adquirió esta casa de madera ?

WP8 - El Fantasma de las Grandes Carmes N 43° 35.874 E 001° 26.656

Cuando sales de la antigua rue des Filatiers en la Place des Carmes, te encuentras con lo que parece un enorme paté que sale de un cubo de playa gigante para niños. Este cilindro de hormigón de 52 metros de diámetro, cuyo suelo en espiral se enrolla alrededor de un núcleo hueco hasta una altura de 21 metros, alberga un mercado con un aparcamiento en la parte superior. Diseñado en 1963 por el arquitecto Georges Candilis, autor del ZUP du Mirail, este proyecto busca integrarse en el corazón mismo del Viejo Toulouse. El cuadrilátero de 5.000 m² correspondiente a este sitio fue ocupado en su día por el inmenso convento de los Grands-Carmes, construido entre los siglos XIII y XV. Esta verdadera ciudad monástica, que incluía una vasta iglesia, una capilla, dos claustros y edificios domésticos, fue absorbida durante las grandes obras de 1809. Quedan restos muy raros de esculturas, algunas de las cuales están expuestas en el museo des Augustins. A pesar de los pocos documentos conservados, muchos autores han alabado la originalidad y monumentalidad de la arquitectura del convento. La decoración esculpida del portal de la iglesia, que daba a la calle principal de las Carmelitas, debió ser de una riqueza excepcional. Sin embargo, un pequeño milagro ocurrió cuando una mano anónima salvó una pequeña escultura de piedra del naufragio. Probablemente vino de este portal. Se insertó en la pared de la fachada de una casa de 1821, en la esquina de la rue des Filatiers y la place des Carmes. Un pequeño fantasma de un pasado olvidado, con una expresión serena y atemporal, domina las terrazas de los cafés y parece vigilar discretamente esta plaza que, a pesar de tantos avatares, ha permanecido como un lugar lleno de vida. ¿ Qué representa este pequeño fantasma esculpido ? 1- un perro, 2- un gato, 3- un mono, 4- un hombre

[aquí, aproveche la oportunidad de subir a la cima del aparcamiento de Les Carmes y admirar la vista de los tejados de Toulouse]

WP9* - La noche del gran choque N 43° 35.879 E 001° 26.566

Ahora está en el distrito de Dalbade, frente a la iglesia Notre-Dame-de-la-Dalbade. Tristemente famosa iglesia, por su campanario el más alto de Toulouse, 81 metros dirán los unos, 84 metros los otros, o 86 metros los más jactanciosos. Aún así, el campanario de la basílica de Saint-Sernin se eleva a 67 metros. Y sin embargo, en una hermosa noche de primavera, el cielo cayó sobre las cabezas de los habitantes del distrito de Dalbade. En un tremendo ruido, el campanario del mastodonte se derrumbó. El modesto santuario dedicado a Nuestra Señora se había convertido en el siglo XVI en una vasta iglesia gótica de una sola nave, digna de los ricos parlamentarios que la frecuentaban. Sancta Maria Dealbata, Nuestra Señora la Blanca, la pura, encalada por dentro con cal, no tenía nada que envidiar a su opulenta hermana mayor, Sancta Maria Deaurata, la Dorada (la Bream). Su imponente torre del homenaje, inspirada en la de la catedral de Albi, fue terminada en el siglo XVII. Luego fue coronada con una flecha, y en 1882 se reconstruyó la punta, que fue demolida durante la Revolución, haciendo más pesado un conjunto ya debilitado. Cuarenta años después, esta última oleada de orgullo fue finalmente fatal. Restaurado entre 1927 y 1949, Dalbados volvió a ser más modesto. Su torre nivelada con su enorme silueta es sólo una sombra de su antiguo yo. ¿ Cómo se llamaban los cónyuges Denax, jefes de panadería, que murieron cuando se derrumbó el campanario ? 1- Michel y Sylvette, 2- Jacques y Claudette, 3- Patrick y Armelle, 4- Pascal y Anne

WP10 - Cruz de fe, cruz de hierro... N 43° 35.842 E 001° 26.534

Bienvenidos frente al Hotel des Chevaliers de Saint-Jean-de-Jérusalem, Dirección Regional de Asuntos Culturales. Una elegante fachada, digna de los palacios romanos, atestigua el poder de la orden hospitalaria del siglo XVII, establecida entre las iglesias de La Dalbade y Saint-Rémi desde el siglo XII. Originalmente había hospitalarios, cuya vocación era "servir a nuestros señores los enfermos", monjes asentados en Jerusalén que acogían a los peregrinos y cuidaban a los enfermos, que se convirtieron en monjes soldados como los Templarios. La cruz blanca de ocho puntas que llevaban en sus túnicas negras seguía siendo el emblema de su orden religiosa. ¿ Cuántos merlets (más o menos intactos) cuenta en la fachada principal ?

WP11 - Una base monumental N 43° 35.817 E 001° 26.540

Uno se queda atónito frente a este imponente palacio, cuyo libertinaje ornamental y blancura destaca sobre la alineación de los edificios de ladrillo. El edificio impresionó tanto a los espíritus de su tiempo que fue nombrado el Hotel de Piedra. Detrás de esta fachada tan teatral, el antiguo hotel de Jean de Bagis, presidente del parlamento, ofrece por contraste una bella sobriedad. Construido en 1537 por Nicolas Bachelier alrededor de un patio interior según el modelo de los palacios italianos, perteneció en 1602 a Nicolas de Guerrier, un rico boticario, que más tarde regresó a François de Clary, con quien se había casado con una de sus hijas, Gabrielle. La pareja Clary, encontrando el Hotel Renaissance muy modesto a su gusto, soñaba con un edificio grandioso que se ajustara a su éxito social. Los capitulares autorizaron el proyecto, cuyo esplendor contribuiría ventajosamente al "ornamento de la ciudad." Se ha dicho que las piedras y mármoles utilizados provienen de antiguos elementos descubiertos en el Garona, cuando se rompió la calzada del Bazacle en 1613. Destinados a la construcción del Pont Neuf, estos materiales habrían sido robados por François de Clary, lo que hizo decir a los habitantes de Toulouse : "Hay más piedras del puente del Hôtel de Pierre que piedras del puente." ¿ Cuántos leones y soles puedes contar en la parte superior de la fachada ? Sume esos dos números. ¿ Qué fechas puedes leer en números romanos en ambos extremos del edificio ? Reste el de la derecha del de la izquierda. Finalmente, date la vuelta y escribe el número en el marcador sobre el nivel del mar. Suma los tres números que encuentres.


Coordenadas finales :

N 43° 35.((WP1+WP2+WP3+WP4+WP5+WP6)+673)/3)

E 001° 26.(((WP7+WP8+WP9+WP10+WP11)+211)/4)


¡ Siéntete libre de usar el GeoChecker !

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Para asegurar la durabilidad de este caché, devuélvelo a donde lo encontraste, y sobre todo, mantente discreto. ¡ Feliz Geocaching !

Additional Hints (Decrypt)

[FR] Qnaf yr purpxre ! OLBC ! [EN] Va gur purpxre ! OLBC ! [ES] Ra ry irevsvpnqbe ! OLBC !

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)