Lors du solstice d'hiver, les druides coupaient le gui sacré
en prononçant les mots « o ghel an heu »,
qui signifient littéralement « que le blé germe » dans la langue celte.
Au Moyen Age, l'expression s'est transformée en « au gui l'an neuf. »
Alors pour respecter la tradition,
nous vous invitons à fêter la nouvelle année
autour d’un braséro, en amitié et en surprises
pour échanger nos voeux
sous la charrière et sous le gui.
le 1er janvier 2018 de 15 à 16 heures