Après la révocation de l'edit de Nantes, il est interdit aux protestants, qui n'ont pas abjuré, d'être enterrés "en terre bénite", soit dans un cimetierre catholique. On commence alors à construire des cimetières privés.
A la révolution, la loi stipule que les communes doivent déterminer dans les cimetières des parcelles distinctes pour chaque culte. Néanmois les protestants ont continué à se faire inhumer dans leur cimetière privé. Celui de Luzac est acheté par la commune en 1838 et reste en fonction jusqu' en 1874.