Sainte-Féréole est situé dans le sud de la Corrèze à proximité de Brive-La-Gaillarde. La commune est bordée au sud-est par la Couze, un affluent de la Corrèze. Au nord-ouest, c'est le Maumont Blanc, un sous-affluent de la Corrèze, qui lui sert de limite. Le territoire communal est également traversé par le Maumont Noir.
Pendant la Révolution française, Sainte-Féréole prend le nom révolutionnaire de Montagne-Frimaire et Montfrimaire.
Dans la nuit du 14 au 15 novembre 1943, les Allemands attaquent un camp de maquisards situé entre les fermes de la Besse et du Treuil. Dix-huit résistants y perdent la vie, huit autres sont déportés, et les deux fermes sont incendiées.
Pour la petite histoire : la famille de Jacques Chirac est originaire de ce village. Il y fut élu conseiller municipal en 1965, sans s'être présenté. Jacques Chirac y possède une maison rurale au centre du village dont il a hérité à la mort de ses parents. La maison est louée à un habitant du village.
A l’entrée du cimetière, se trouve le monument aux morts de la commune. Il s’agit d’une sculpture en calcaire réalisée en 1925 par Louis Froidefond. Le casque fait partie du registre figuratif lié à la guerre, quant à la femme penchée au-dessus de la stèle, c’est une Corrézienne à la fois mère, épouse, fille ou sœur de soldat qui exprime le deuil. Une inscription gravée sur l’œuvre précise que ce mémorial résulte d’une initiative privée : celle de 2 frères agriculteurs, Pierre et André Boulle, qui furent en effet à l’origine de la commande et subvinrent à l’ensemble des frais occasionnés.