Les Communes de Seine-Maritime
Les communes de Seine-Maritime est une série de caches particulière construite par la collaboration entre les géocacheurs. Le principe de la série est simple et est basé sur la participation volontaire : le premier qui le désire se propose pour poser la suivante de la série en respectant, si possible, les règles ci-dessous :
- Le nom de la cache posée contiendra "Commune du 76" et le nom de la commune de Seine-Maritime où elle est située.
- Il n'y a aucun ordre particulier à suivre
- Il n'est pas nécessaire d'avoir trouvé une cache de la série pour participer.
- La cache doit être posée dans une commune de Seine-Maritime non encore répertoriée (il y a 744 communes en Seine-Maritime).
- Pas de limitation de taille, difficulté, terrain ou type
- Il est bien que le descriptif de la nouvelle cache contienne les présentes règles et soit suivi d'une présentation de la commune choisie pour la cache.
Idée Originale : ATMO Studio
Merci d'envoyer un message à l'adresse geocorsaires at gmail.com pour l'ajout de votre cache à la liste référente :)
Saint-Jean-de-la-Neuville est une petite commune du nord de la France, située dans le département de la Seine-Maritime et de la région Normandie.
Les habitants et habitantes de la commune de Saint-Jean-de-la-Neuville sont appelés les Saint-Jeannais et les Saint-Jeannaises
Origine du nom : Neuville vient du latin villa, domaine rural, précédé de novus : le nouveau domaine.
La voie romaine de Lillebonne-Etretat traverse le très ancien village de Saint Jean de la Neuville. La partie ouest de la commune appartient à Valmont, puis au prieuré de Beaulieu en Roumois. La partie est, constituée du Mont Criquet et du Petit Bec, achetée au XI° siècle par Malthilde de Flandres, épouse de Guillaume Le Conquérant. Son fils Henry II d’Angleterre et duc de Normandie attribue la terre à l’abbaye du Valasse en 1166.
En 1944, Saint Jean de la Neuville est le cadre de faits de résistance : deux résistants du village réussissent à se rendre au dépôt de munitions du Mont Criquet et à emporter d’utiles caisses de grenades malgré la surveillance des sentinelles allemandes. C’est également en 1944, que M. Mons, réfugié du Havre, ébéniste à Saint Jean de la Neuville, fabriqua les lambris, les bancs, la chaire et le confessionnal de l’église.
Source : http://saint-jean-de-la-neuville.fr