Pendant la guerre, se tient sur ce site une fonderie de cuivre et un atelier de construction appartenant à la Société Anonyme parisienne des Ateliers Thomé et Guénot. Détruits par un bombardement à la fin du conflit, les lieux sont repris et reconstruit par les établissements Brissonneau et Lotz à partir de 1919. Leur principal chantier ? La reconstruction également, mais ce coup-ci du parc ferroviaire de la Compagnie du Nord, endommagé pendant la guerre.
Par la suite, se spécialisant de plus en plus dans l’automobile, l’usine finit rattachée à la Société Chausson, qui travaille principalement pour Renault et Peugeot. Il s’agit alors d’un des plus gros bassins d’emplois de l’agglomération. Après sa fermeture en 1996, le site est repris par l’agglomération, qui le transforme en pépinière d’entreprise qu’il est toujours actuellement.