UN PEU D'HISTOIRE...
Les armes de Hérin se blasonnent ainsi "D'azur semé de fleurs de lys d'Or"
Une clairière resserrée entre les bois de Trith, d'Aubry et de Wallers, à quelque distance de l'antique fief d'Anzin, lui aussi couvert de bois, accueillit vraissemblablement les fondateurs du village.
De lieux en lieux-dits, de forêt en chemin, et de chemin en rue, seules la rue du Tilleul et la rue du Quesne se souviennent de ce lointain passé.
De toutes les étymologies, la moins improbable est vraissemblablement celle qui fait procéder Hérin de Her, diminutif de Herbert, et de hem, manoir (manoir d'Herbert).
Hérin ne connu heureusement ni bataille ni événement grave, si ce n'est le sac de l'église en 1566 par les Gueux (protestants) qui se retirèrent ensuite sur Hasnon.
Par contre, l'activité du village ne se limitait pas à la culture et, bien avant la houille, le sous-sol de cette plaine un peu monotone permit l'extraction de pierres blanches. Dès le XIIIème siècle, des religieux exploitaient ces carrières qui fournirent par exemple les matériaux du presbytère d'Aubry (1726). En 1570, la présence d'un tailleur de pierre est attestée à Hérin. Mais toute activité cessa avec la Révolution.
Cette boucle vous permet d'avoir un aperçu d'Hérin sur une distance de 8 Km que vous pourrez faire en vélo ou à pied. Les caches sont à la portée des petits et des grands. Il n'y a pas de grandes difficultés.
Une petite fleur, emblême de PuccaGaru, se trouve dans chacune des boites pour le FTF s'il le souhaite.