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Communes des Deux-Sèvres : Amailloux Mystery Cache

This cache has been archived.

Konaitusa: Bonjour Eloflomar,

Je viens de procéder à l'archivage de cette cache car malgré notre précédent message, aucune visite de maintenance n'a été effectuée afin de la remettre en service.

Cordialement, Konaitusa
Geocaching Community Volunteer Reviewer

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Hidden : 8/2/2016
Difficulty:
2 out of 5
Terrain:
2 out of 5

Size: Size:   other (other)

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Geocache Description:



Les communes des Deux-Sèvres est une série de caches particulières construites grâce à la collaboration entre les géocacheurs.

Basé sur la participation volontaire, le principe de la série est simple : le premier qui le désire se propose pour poser une cache dans la ou les communes de son choix, selon les préconisations suivantes :

En Deux-Sèvres, il y a 305 communes, à vous de jouer...


Pour réserver votre commune et mettre à jour votre contribution sur cette carte , merci d'envoyer un mail à lulu_et_compagnie via notre profil.


Histoire Locale

Son origine  remonte à l'occupation romaine sous le nom d' Animalya (animaux) et ensuite Amallo en 1095,d'où le nom des habitants de la commune : les Amaliens et Amaylle en 1300.

La période gallo-romaine laisse des traces de villas et d'une voie romaine Nantes-Poitiers   (près du moulin de la Basse Raconnière).
La primitive église d'Amailloux était au XI ème siècle celle d'un prieuré-cure, comme en témoigne   une charte de 1095, par laquelle l'Évêque de Poitiers Pierre II, la donnait à l'abbaye d'Airvault.
Plusieurs chapelles dépendaient de l'église d'Amailloux : celles des Joubert, de Saint-Nicolas et de Forchelimier.  
    
Les de Chausseroy (ou Chausseray) d'Airvault, furent les premiers seigneurs d'Amailloux.

En 1322, Guy III de Chausseroy donna à sa soeur Estive, épouse du chevalier Guillaume d' Albin,   sa terre d' Amailloux, en échange de la rente de trente-cinq livres que leur père, par testament, leur avait consentie.  
Amaury de Liniers, auquel son épouse, Marie de la Court avait apporté la châtellenie lutta en 1385,   contre les bandes anglo-gascognes. 
Son château, dans lequel il était assiégé fut pris et brûlé.
Sous le règne de Charles VII, son petit-fils, Michel  de Liniers, reconstruisit son manoir pour lequel le roi l'autorisa à imposer le droit de garde aux habitants de la châtellenie.
La châtellenie d' Amailloux dépendait de la baronnie d' Airvault. La paroisse faisait partie du doyenné de Bressuire, de la sénéchaussée et de l'élection de Poitiers, après avoir dépendue au XVI ème de celle de Parthenay.

Le château, dont il ne reste qu'un fragment de tour et quelques substructions, se composait alors d'une cour entourée de douves et protégée par un mur haut de six mètres percé de meurtrières. Au milieu se dressait le donjon. Entre les trois tours qui s'élevaient aux angles, le grand corps de logis à deux étages était flanqué d'une tour pourvue d'un escalier de pierre.
Le château après 1700, fut remplacé par un manoir moins important et moins solide, une maison-forte, construite par le duc de la Meilleraye sous Louis XIII et qui domine la partie haute du bourg.

En 1750, Amailloux compte 950 habitants.
En 1793, le Haut-Château est réquisitionné par les généraux vendéens Lescure et la Rochejacquelein pour entreposer les munitions.

Amailloux fut le premier bourg incendié des guerres de Vendée, après avoir été vidé de ses meubles et incendié par les troupes de Westermann; seuls échappèrent au feu, l'église et le presbytère, une partie du château et un vieux logis qui à survécu avec sa façade à pan de bois et son élégante porte du XV ème (aujourd'hui la mairie)

Accusé d'avoir prêté main-forte aux vendéens, le maire d' Amailloux, Louis Fradin, comparut devant le tribunal des Deux-Sèvres qui, le 17 novembre 1793, le condamna à mort. Sa tête tomba le lendemain place de la brèche.

En Janvier 1794, la "colonne infernale" du général Grignon n'épargna pas Amailloux. Dans le bourg, il ne restait plus grand-chose à brûler. Qu'à cela ne tienne, le général incendiaire et les soldats de la II ème légion s'en prirent  aux villages et aux fermes isolées.

Le canton d'Amailloux fut crée en 1790, puis supprimé en l'an VIII ( 1800 ) et réuni à celui de Parthenay. Il se composait des communes d' Adilly, la Boissière-Thouarsaise (aujourd'hui Lageon), Fénery et Saint-Germain-de-Longue-Chaume.

Les Loups redoutés pour leur force, leur ruse, leur cruauté, furent tout au long des âges et particulièrement au cour des siècles de misère et d'anxiété, la hantise des habitants d' Amailloux, de ceux surtout dont les villages étaient voisins des bois.  Le 20 Ventose an VIII (11 mars 1800), le commissaire du gouvernement près l'administration municipale du canton s'adressa aux administrateurs du département et obtint l'autorisation d'organiser une grande battue contre les loups, avec le concours de la force armée.

En 1804 Amailloux ne compte plus que 655 habitants. La commune en comptera 1062 en 1931 pour redescendre à 760 en 1990.

De tous les châteaux qui jalonnaient la commune, seuls Tennessus et Fougerit sont encore visibles. Des autres, il ne reste que des ruines et quelques vestiges.

Château de Tennessus :

Entouré de douves, muni de meurtrières, de hourds, d'un pont-levis en état de marche et de cheminées monumentales, ce noble château-fort propose un hébergement exceptionnel dans un cadre insolite. Les trois immenses chambres d'hôtes dont chacune occupe tout un étage du donjon du XIV ième siècle, sont soigneusement aménagées dans l'esprit médiéval avec pierres apparentes, décorations héraldiques, tapisseries, lits à baldaquins et mobilier d'époque... 

Château de Fougerit :

Le château de Fougerit appartenait aux La Court au XIVe siècle. La propriété resta dans cette famille jusqu'au début du XVIIe siècle, à cette période elle passa aux mains de Joseph Guichard, seigneur de Bernegoue. Principal fief de la châtellenie d'Amailloux avant la Révolution, la maison-forte était protégée par de solides murs d'enceinte et l'on y accédait par un pont-levis surmontant des fossés. Ils ont été conservés et enserrent à  l'emplacement de l'ancien château, une demeure bourgeoise bâtie vers la moitié du XIXe siècle par son nouveau propriétaire, André Napoléon Failly. En 1878, l'édifice appartenait à son fils Clément marié à Thonnard du Temple. En 1919 la propriété fut acquise par M. Clément Gabilly. Fougerit avec ses quatre tours d'angle et ses lucarnes aux frontons sculptés ne manque pas d'allure. Elle a également conservé une belle tour-colombier...

 

ENIGME :

Additional Hints (Decrypt)

Purpxrhe

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)