Skip to content

Décumanus Maximus Est Traditional Geocache

This cache has been archived.

The Publisher: Bonjour,

Puisqu'il n'y a pas eu de maintenance dans un laps de temps raisonnable, j'archive cette cache.
voir aussi : http://www.geocaching.com/about/guidelines.aspx#cachemaintenance.

Cordialement,
The Publisher - Groundspeak Volunteer Reviewer.

More
Hidden : 3/11/2016
Difficulty:
3.5 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

Join now to view geocache location details. It's free!

Watch

How Geocaching Works

Please note Use of geocaching.com services is subject to the terms and conditions in our disclaimer.

Geocache Description:

Cette cache s’inclut dans la série des caches avec : GC6D37Q - GC6D37P- GC6D37W - GC6D37Y

Rue du 4 Septembre : Proclamation de la république Française en 1870

Ou Décumanus Maximus Est, dans l'architecture Romaine, les villes avaient toutes une rue principale Est Ouest : Le Décumanus Maximus, La Rue du 4 Septembre est le tracé contemporain de cette ancienne voie Romaine qui partait toujours du Forum.

Le 2 septembre 1870, l'empereur Napoléon III capitule à l'issue de la bataille de Sedan. Il est fait prisonnier. La nouvelle est connue à Paris le 3 septembre, y déclenchant des troubles.

Les députés du Corps législatif sont convoqués d'urgence au Palais Bourbon par leur président, Eugène Ier Schneider. La séance commence à 1 h du matin ce 4 septembre et s'achève une demi-heure plus tard. Le député Jules Favre prononce ces mots : « Louis-Napoléon Bonaparte et sa dynastie sont déclarés déchus du pouvoir. Il sera nommé par le Corps législatif une commission [...] investie de tous les pouvoirs du gouvernement et qui aura pour mission expresse de résister à outrance à l'invasion et de chasser l'ennemi du territoire. [...] Le général Trochu est maintenu comme gouverneur général de Paris ».

La séance reprend quelques heures plus tard. Les journaux ayant exhorté la foule à venir nombreuse devant le palais pour exiger la déchéance de l'empereur, un service d'ordre de grande ampleur a été détaché en vue d'assurer la sécurité des députés ; c'est en effet quelque 5 000 hommes (sergents de ville et inspecteurs de police, gendarmes à pied et à cheval, soldats de la garnison) qui sont massés à proximité de l'édifice par le chef du gouvernement, Cousin-Montauban.

Dans l'hémicycle, Léon Gambetta exige la déchéance de l'empereur tandis qu'Adolphe Thiers veut seulement créer un « comité de gouvernement et de défense nationale ». La séance est agitée et le public, jusque-là sagement assis dans les tribunes, profite d'une suspension de celle-ci pour sortir du palais et agiter mouchoirs et chapeaux du haut des marches. À 14 h 30, on entrouvre les grilles pour laisser entrer quelques députés et une centaine de gardes mais, très vite, une foule de Parisiens force l'entrée et s'engouffre dans l'enceinte du palais ; aucune résistance n'est opposée et bientôt la foule s'entasse dans les tribunes. Gambetta demande alors à l'assistance de ne troubler les débats « ni par des cris, ni par des applaudissements ». Le député Crémieux demande à Cousin-Montauban de renvoyer les gendarmes, leur présence étant perçue comme une provocation ; celui-ci obtempère et, quelques minutes plus tard, les émeutiers envahissent l'hémicycle. Les députés tentent de tempérer la foule et ainsi ramener le calme : « c'est comme représentant de la Révolution française que je vous adjure d'assister avec calme au retour des députés sur leur banc ! », hurle Gambetta. Ces tentatives d'apaisement sont vouées à l'échec ; devant la clameur incoercible de la foule criant à la déchéance de l'empereur et à l'instauration de la République, Schneider fait lever la séance et se retire. Renonçant à faire voter ses collègues, Favre interpelle la foule en lui criant que ce n'est pas ici qu'il faudra proclamer la République ; et Gambetta de conclure du haut de la tribune : « Allons à l'hôtel de ville ! »....et à Beziers, au bout de cette rue...l'Hôtel de Ville.

 

L'église des Pénitents

Son porche du XVe siècle donne dans une rue très commerçante perpendiculaire aux allées. Dès que l'on entre dans l'édifice, on est frappé par l'importance des peintures. Tout d'abord, derrière l'autel, l'impressionnant décor en trompe-l'oeil - XIXe siècle - dédié à saint Jérôme. On y devine, en second plan, la cathédrale. Sur la gauche, reste, de la même époque, une représentation pittoresque de la barque des Saintes-Maries-de-la-Mer et de sainte Sara. Les traces de peinture que l'on peut voir sur les murs de la nef datent, elles, du XVIIe siècle. Avant de sortir, observez sur le mur du fond l'immense maquette de bateau. Exécutée entre 1780 et 1810, elle est la reproduction, au millimètre près, d'une canonnière commandée par Louis XVI pour les Etats du Languedoc.

 
LES CACHES SONT NOTEES DIFFICILES A CAUSE DES MOLDUS QUI GROUILLENT DANS LE COIN

Additional Hints (Decrypt)

Craqhr à yn tbhgvèer

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)