Profitez de cette cache pour découvrir le Musée de l'Érotisme de Paris (aujourd'hui fermé malheureusement) ainsi que la Maison Souquet, ancienne maison close transformée en bar à cocktail qui se trouve à quelques pas de là :
[FERMÉ] Le Musée de l'érotisme est un musée consacré à l'art érotique (peintures, sculptures, objets,...), à Paris depuis novembre 1997 par Alain Plumey & Joseph Khalifa1 dans le XVIIIe arrondissement, au 72, boulevard de Clichy, en plein cœur de Pigalle.
Les expositions
Sur les sept étages, le musée regroupe des expositions permanentes sur :
- l'art populaire qui montre la sexualité dans son aspect récréatif,
- l'art sacré de la préhistoire à nos jours, qui se focalise sur la sexualité, la fécondité et la fertilité,
- l'art contemporain (photographies, dessins, peintures...)
- les maisons closes (de la fin du XIXe siècle à l’année 1946, date de la fermeture de ces établissements en France),...
Il expose des pièces authentiques d’Afrique, d’Amérique, d’Asie, d’Europe et d’Océanie.
Le musée abrite aussi des expositions temporaires d'artistes internationaux, d'une durée de six à sept mois (sur le Japon, Alexandre Dupouy, Claveloux, Christian Peter, Peter Van Straaten,...)
source Wikipedia
Un bar à cocktails dans l’ambiance canaille d’une maison close
Que vous soyez un couple avide d’aventure, un amoureux à la recherche d’un lieu pour conquérir votre future moitié ou tout simplement deux ou trois ami(e)s souhaitant s’acoquiner, c’est ici qu’il vous faut aller.
Une maison close mythique de la Belle Époque
Nichée à quelques pas du Moulin Rouge, la Maison Souquet vous ouvre les portes de l’une des plus voluptueuses maison closes que comptait Paris à la Belle Époque. Ce quartier à la réputation frivole s’est imposé comme haut-lieu de la débauche parisienne à la fin du XIXème siècle où il faisait bon venir s’encanailler avant de devenir un repaire malfamé dès les années 30. Les nombreuses maisons closes du quartier disparaissent peu à peu puis définitivement en 1946, année de leur fermeture légale.
En 2015, les lanternes s’allument à nouveau
Mais en 2015, les lanternes rouges s’allument à nouveau sur la façade du numéro 10 de la rue de Bruxelles. S’il s’agissait autrefois d’un signe qui avertissait les passants que les courtisanes étaient prêtes à les recevoir, ce repère vous plonge aujourd’hui dans l’histoire sulfureuse du Paris festif et licencieux en vous menant tout droit au bar dont l’atmosphère est sans aucun doute la plus envoutante de la capitale.
Laissez-vous envouter par ce bar secret
On déambule dans les salons en enfilade et le jardin d’hiver, on se prélasse sur des banquettes damassées en broderies de satin violet ou de velours rouge, on est ébloui par le décor orientaliste majestueux restitué dans les moindres détails, et l’on se délecte bien entendu de cocktails entêtants. Vous l’aurez compris, venir boire un verre à la Maison Souquet c’est s’évader le temps d’une soirée.
Et pour ceux qui sont prêts à délier les cordons de leur bourse, vous pourrez même vous offrir une nuit polissonne dans l’un des vingt écrins coquins que propose cet hôtel 5 étoiles. Avec leurs noms inspirés des grandes courtisanes de l’époque et leurs décors chatoyants, il vous sera difficile d’arrêter votre choix car chaque chambre est unique !
source Paris ZigZag
Cette cache participe au Défi Caches Créatives 2016 organisé par France Geocaching !