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La Loane : ça coule de source ! Multi-cache

Hidden : 2/16/2016
Difficulty:
3 out of 5
Terrain:
2 out of 5

Size: Size:   other (other)

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Geocache Description:


Le 16 février 2016, c'était l'anniversaire des 2 ans de géocaching des Loan13 !

Avec plus de 50 caches posées à leur actif, toutes bien conçues, originales, ludiques, mais parfois aussi démoniaques, les Loan13 nous ont tous amusés, fascinés, enthousiasmés, mais aussi torturés les méninges !

Aussi, l'équipe ZAL réunie (formée par Ze Wolf, Asphodele13 et Liodan13), a souhaité riposter à son tour, en force, pour célébrer cet événement en leur concoctant, non pas une cache hommage, mais une série complète de 3 caches à leur image (1 wherigo, 1 mystery et 1 multi) :

1- On connait le goût prononcé des Loan13 pour l’Histoire avec un grand H combiné à celui de l’aéronautique. A travers la cache wherigo de Ze Wolf (GC6AC6Q "Il faut retrouver Loan Junior"), partez de l’aérodrome de Salon-Eyguières pour explorer ses alentours.

2- Parmi les caches posées par les Loan13, 10 mysteries en ont fait transpirer plus d'un ! Avec la mystery cache des Asphodele13 (GC69ZHG "Les 10 mysteries des Loan13") partez donc ensuite pour une petite balade rétrospective de ces dernières à travers les Alpilles.

3– Enfin, découvrez l'Eau d'Eyguières, à travers la multi cache des Liodan13 (GC62XZ0 : "La Loane : ça coule de source !"), véritable périple culturel à la recherche des fontaines et lavoirs de la ville, qui en font un havre de fraîcheur.

Eyguières, Ville d'Eau

Eyguières, village provençal traditionnel, doit son nom à l'existence de trois sources qui jaillissent naturellement : La Font Vieille, La Bormes, et La Gilouse. Véritable ville d'eau, elle est entourée par de nombreux ruisseaux, canaux et roubines. Plusieurs fontaines, toutes alimentées par ces sources, jalonnent les ruelles et places du village.

Concernant l'origine du nom d'Eyguières, la forme la plus ancienne est Aquiera attestée en 1044, puis Aquaria, et Aigueria en 1143 d'après l'occitan Eiguièro (= rigole, ruisseau).

Eyguières a ainsi pour devise : "L’aigo fai veni poulit" : "L’eau rend poli" au sens du verbe polir, ou "L'eau rend joli", écrite par Frédéric Mistral lui-même, dans "L'Armana Provencou" de 1870 (dixit : "On ne pouvait mieux choisir car ce joli proverbe tout en retraçant l'eau, étymologie d'Eyguières, rappelle en même temps que la sobriété est la mère des vertus").

Dans le village, on retrouve des canaux de largeurs diverses, anciens et toujours en activité pour certains, qui sillonnent la plaine et contournent l'éperon rocheux du village : canaux de Craponne (1560), des Garrigues, du Congrès (1786), ou du Moulin. Ils sont souvent révélés à l'espace public par un pont, une passerelle ou une fontaine.

Il est intéressant de noter que les premières installations, pour assurer l'eau à proximité des habitations à Eyguières, datent de la fin du 18ème siècle, et il faut attendre la fin des années 50 pour que l'eau sous pression arrive dans chaque foyer. Jusque là, les Eyguiériens allaient encore chercher l'eau aux puits et aux fontaines.

En août 1720, à l'arrivée de la Grande Peste, une ligne frontière sanitaire a été organisée tout autour du village afin d'en contrôler son entrée. Un triangle d'eau, formé par les canaux alentours, enserrait alors efficacement la ville, pour défendre, prévenir, et lutter contre le fléau de la Peste qui se propageait en Provence. Une garde spécifiquement attitrée à la surveillance de cette frontière permettait ainsi d'en contrôler tous les points cardinaux. La Peste sévit jusqu'à fin 1722. Sur les 400.000 âmes qui peuplaient la Provence, il y eut 126.000 morts, mais aucun à Eyguières.

Ainsi, Eyguières avait élaboré en sa ligne d'eau une solution ingénieuse et courageuse dans son suivi rigoureux, qui avait garantie son efficacité maximale. Pour remercier le ciel de sa protection, une souscription auprès des habitants d'Eyguières permit de construire une chapelle en l'honneur de St-Roch. Elle fut terminée en 1725.

La Visite d'Eyguières

Vous allez maintenant partir à la découverte du village. Suivez bien les 11 étapes, dans l'ordre de préférence, pour optimiser les déplacements de votre visite jusqu'à la cache finale, et n'oubliez pas de répondre aux 12 questions posées à mesure. Au besoin, on vous conseille de prévoir un en-cas et un peu d'eau, car il peut faire de fortes chaleurs à la belle saison !

Armoiries :

Les armoiries d'Eyguières se déclinent comme suit : "D'azur à trois aiguières, deux et une, d'argent". Notons qu'aiguières s'écrit "ai" définition d'un vase à pied muni d'un bec. Trois aiguières car d'un point de vue héraldique, elles représentent les 3 sources principales du village.

Si le blason d'Eyguières ne comportait qu'une aiguière en 1696, date où Louis XIV obligea toutes les villes de son royaume à faire enregistrer leurs armoiries propres, il s'enrichit de 2 autres aiguières, en 1776, quand 2 autres sources furent aménagées : La Bormes et La Gilouse.

Question A : Durant votre balade, pensez à regarder près de quelle fontaine se trouve le blason ci-dessous ? A = le numéro de l'étape de la fontaine correspondante (nombre à 1 ou 2 chiffres).

Drôles de becs :

Durant votre balade, vous découvrirez de nombreux becs de fontaines ou de lavoirs. Dans les étapes suivantes, certaines questions feront référence à la photo ci-dessous comportant 8 gros plans de becs numérotés. Il faudra alors retrouver le bec correspondant et noter son chiffre.

Cette fois ci, en route pour la balade ! wink

Etape 1 : Fontaine et Lavoir de Gilouse (N43°41.941 / E05°02.280)

Pour cette 1ère étape, nous vous conseillons de vous garer au PK1.

La Gilouse est la 3ème source résurgente du village. Elle provient de la colline du Défens.

Mystérieuse et féerique, la légende raconte qu'en des temps anciens, une jeune gauloise et son tendre soldat, à la veille d'une bataille, se promettent un amour éternel. Hélas, une flèche romaine blesse mortellement son amant et de ce jour, elle en devient inconsolable. Lasse de souffrance, elle s'allonge sur le rocher pour mourir et ses larmes feront jaillir la source. La légende voudra qu'elle devienne la fée de tous les amoureux et on dit même que le soir venu, vous pourrez l'apercevoir vêtue de blanc.

Cette légende fait partie des traditions populaires provençales, chères aux félibres, et fut évoquée au début du 20ème siècle dans un opéra-comique d'Auguste Perret, qui porte le nom de la fée de Gilouse.

Cette source est protégée par une construction en pierres au toit de lauze calcaire datant de la fin du 17ème siècle. La route qui passe au-dessus d'elle l'a quasiment engloutie. En 2015, fut réalisée la restauration de la couverture en pierres taillées.

Compte tenu de son éloignement du village, cette fontaine n'alimente qu'un petit lavoir (actuellement à sec), le surplus des eaux irriguant les jardins à proximité. Ce lavoir, créé en 1660, réduit à sa plus simple expression, non couvert, ne retentit plus des bavardages ou de rires depuis longtemps. Mal entretenu, les abords se dégradent. Un projet de couverture serait prévu prochainement.

Son eau, captée depuis 1774 par aqueduc couvert creusé dans la roche, complété par des canalisations en bourneaux (= tuyaux en terre cuite vernissée emboîtés les uns dans les autres avec des joints d'étanchéité. Ces bourneaux sont posés sur des pierres légèrement creusées qui servent de soutènement), alimente aussi les fontaines Calendalo et Trinquetaille. Plus de 650 cannes à bourneaux sont nécessaires soit un kilomètre deux cents de tuyaux. Cette installation perdure jusqu'à la fin du 19ème siècle où l'on procède à son remplacement par des tuyaux en plomb.

Question B : De combien de pierres de taille est composée la toiture (la faîtière + les 2 pans) de la fontaine restaurée ? B = nombre à 2 ou 3 chiffres.

Etape 2 : Fontaine et Lavoir de Bormes (N43°41.735 / E05°02.197)

Pour cette 2nde étape, nous vous conseillons de vous garer au PK2.

La Bormes est la 2nde source résurgente du village. Pérenne, la plus abondante du village, et d'un débit conséquent, elle fut particulièrement vénérée, depuis l'Antiquité, par le druide et les habitants, qui virent en elle les vertus d'une source sacrée protégée par le Dieu guérisseur, le dieu thermal le plus important de Gaule, le dieu des sources bouillonnantes, Bormo (ou Borvo), représenté sous la forme d'un serpent à tête de bélier. Elle doit ainsi son nom à ce Dieu bienfaiteur, et à son eau purificatrice contre les maux de toute sorte.

Jusqu'à la fin des années 50, elle n'est utilisée que pour les besoins du quartier et l'alimentation du lavoir. Ce qui s'explique aisément par sa situation géographique. Au creux de la vallée, la dénivellation ne permet pas à ses eaux de s'épandre sur une grande surface ; elle ne pouvait donc desservir que les alentours.

De la fin des années 50 aux années 80, elle verra ses eaux captées et acheminées pour alimenter tous les foyers du village.

Après les années 80, pour répondre aux besoins toujours plus importants, 3 forages, creusés dans les collines du Défens, prennent le relais. Les eaux sont canalisées et stockées dans un réservoir pour garantir une distribution suffisante à toute l'agglomération.

Le lavoir à colonnes, pièce maîtresse de la vie du village, fut construit en 1839, à proximité de la fontaine qui l'alimente. Son mur et son toit offrent un grand confort car ils protègent les belles lavandières de la pluie, du soleil et surtout du mistral. Et les galéjades allaient bon train. C'est là paraît-il, que naquit l'expression "laver son linge sale en famille".

Question C : De combien de pannes (hors panne faîtière) est composée la charpente du lavoir ? C = nombre à 1 ou 2 chiffres.

Etape 3 : Fontaine Coquille (N43°41.696 / E05°01.954)

Pour cette 3ème étape, et jusqu'à l'étape 9, nous vous conseillons de vous garer au PK3, et de faire le parcours à pieds.

La fontaine dite "à la Coquille" est constituée d'un ensemble vertical bâti en pierre de taille surmonté d'un fronton cintré avec modillons et décoré d'une coquille Saint-Jacques et de pilastres. Le bassin prend place devant, en demi-cercle.

Edifiée en 1887 au pied de l'église, elle fut transférée ici, près de la Mairie, en 1923, pour permettre l'édification du monument aux morts.

Elle doit son nom à la coquille Saint-Jacques représentée sur son fronton. Symbole fort pour les pèlerins du chemin de Saint-Jacques-de-Compostelle, dont elle guide les pas, et dont l'une des routes passe par Eyguières (prolongement de la voie d'Arles).

La fontaine est un lien visible entre le canal Meyrol à l'arrière, et l'espace public du village. Elle joue à la fois un rôle décoratif d'art urbain et un rôle fonctionnel comme réceptacle d'eau.

Question D : Combien comptez-vous d'épis cylindriques de massettes sur le fronton de la fontaine ? et Retrouvez le numéro du bec de cette fontaine parmi les 8 de la photo des drôles de becs présentée en haut de page ? D = somme des 2 nombres (= nombre à 1 ou 2 chiffres).

Etape 4 : Fontaine Calendalo (N43°41.690 / E05°01.830)

Cette ancienne fontaine de la place centrale (ou place royale), est alimentée par la Gilouse. Elle a été créée en 1774 par le grand maître fontainier d'Orange, Jean Joseph Monier (qui créa aussi la fontaine Trinquetaille). Elle est utilisée, le jour de la fontaine aux jouets, pour récolter des jeux pour les enfants.

Question E : Combien de petites chaînettes de métal ornent la fontaine ? E = nombre à 1 chiffre.

Etape 5 : Fontaine Fontvieille (N43°41.729 / E05°01.837)

La Fontvielle est la 1ère source résurgente du village. Recevant les eaux de la Gorgue, cette résurgence du Mont Menu semble avoir toujours existé, depuis l'Antiquité, au lieu où la fontaine s'écoule encore de nos jours, d'où son nom. Cette fontaine était la seule qui alimentait la population jusqu'en 1774, date où l'eau de la Gilouse vint satisfaire les besoins supplémentaires en eau d'Eyguières par l'ajout de 3 fontaines.

A l'époque, on accédait à la source par un chemin en pente, où se trouvait également un petit lavoir et des sanitaires. Tout est recouvert de nos jours, mais la capture de la source se trouve encore à presque 4 mètres sous nos pieds.

Ce n'est qu'en 1832 qu'un escalier fut construit pour y parvenir. En 1887, grâce à un système de pompe, la Fontvieille fut remplacée par la Fontaine Coquille. Mais en 1923, la construction du monument aux morts (oeuvre du sculpteur marseillais François Carli), obligea la délocalisation de celle-ci, dans la rue du Couvent, et la création de la fontaine actuelle au pied du monument.

Question F : Sur les 2 plaques hommage aux morts de chaque côté du monument, combien comptez-vous de citoyens du nom de RICARD et combien de citoyens se prénomment JULES ? F = somme des 2 nombres (= nombre à 1 ou 2 chiffres).

Etape 6 : Fontaine Trinquetaille (N43°41.816 / E05°01.808)

Cette fontaine, créée en 1774-76, est alimentée à partir de la source de Gilouse. Son nom proviendrait du quartier où elle a été implantée. En langue provençale, "trenco-taio" signifie par l'endroit où le Rhône "tranche et taille" son delta. L'analogie veut alors que le quartier s'appelait ainsi car il était coupé en 2 par le canal découvert du moulin.

Question G : Quel est le nombre inscrit sur la plaque métallique du Service des Eaux, située au pied, derrière la fontaine ? G = nombre à 2 ou 3 chiffres.

Etape 7 : Fontaine Cocotte (N43°41.667 / E05°01.785)

Son nom peut s'expliquer de différentes façons.

Certaines histoires racontent que les mères accompagnées de leurs enfants s'amusaient à rebaptiser ce coq, emblème national, sous le nom taquin de cocotte. D'autres disaient qu'à l'époque, beaucoup de villageoises venaient y laver leurs pots de chambre, d'où son surnom tiré de l'expression familière "cocotter", car elle répandait une odeur peu agréable. Quoi qu'il en soit, l'imagination populaire et le sens inné de la galéjade typiquement provençale, y seraient pour quelque chose.

L'origine historique est certainement plus vraisemblable. A l'époque, il y avait à cet emplacement un temple protestant qui fut rasé en 1684 sur ordre de Louis XIV. Le lieu devint une place sur laquelle on édifia un monument pyramidal surmonté d'une croix au-dessus d'un bassin où coulait une fontaine. A l'époque révolutionnaire, la croix fut brisée et remplacée par un coq gaulois qui disparut à son tour en 1830, mais l'habitude était prise de désigner cette fontaine "cocoto" (coq en provençal). En 1923, la fontaine fut classée monument historique. Ce n'est qu'en 1989 qu'un nouveau coq remplaça celui disparu depuis longtemps.

Question H : Quel est le nombre de lettres du métier de madame LOISELEUR ? H = nombre à 1 ou 2 chiffres.

Etape 8 : Lavoir de la Burlière (N43°41.658 / E05°01.758)

La fontaine de la Burlière a été démolie du temps de l'agrandissement de la route. Seul le lavoir qui y été associé subsiste. Il a été reconstruit et réaménagé récemment.

Question I : Retrouvez le numéro du bec de ce lavoir parmi les 8 de la photo des drôles de becs présentée en haut de page ? I = nombre à 1 chiffre.

Etape 9 : Fontaine Monier (N43°41.623 / E05°01.798)

On ne sait malheureusement rien au sujet de la fontaine Monier, qui trône au milieu de la place du même nom.

Question J : Combien comptez-vous de plaques entières "Eau non potable" sur la fontaine ? J = nombre à 1 chiffre.

Etape 10 : Chapelle Saint-Roch (N43°41.337 / E05°01.509)

Pour cette 10ème étape, nous vous conseillons de vous garer au PK4.

Dans ce périple lié à l'eau, cette pause à la chapelle a tout son sens. En effet, construite en 1725, elle est dédiée à Saint-Roch. Les parois intérieures sont en grande partie recouvertes de fresques modernes exécutées par Albert Martin, peintre natif d'Eyguières. Une statuette du saint est nichée au-dessus de la porte. Saint-Roch étant le patron des pestiférés, l'attribution de ce vocable à la chapelle serait liée à l'épidémie de peste noire qui endeuilla la Provence au début des années 1720.

Edifice très sobre, de dimensions modestes, en plan rectangulaire, augmenté au sud d'une très petite abside semi-circulaire, il témoigne encore avec force de la résistance du village à ce fléau dévastateur du 18ème siècle, et ce grâce à l'eau. Le portail, de style classique, est très dépouillé : un bandeau en légère saillie encadre l'ouverture. Un entablement surmonte le tout, avec une inscription sur la frise : "Saint-Roch, priez pour nous".

Question K : Combien la chapelle a t-elle de fenêtres avec du fer forgé ? K = nombre à 1 chiffre.

Etape 11 : Aqueduc et ancien moulin de Craponne (N43°41.444 / E05°01.329)

Pour cette 11ème et dernière étape, nous vous conseillons de vous garer au PK5.

L'ancien moulin de Craponne, à proximité de l'aqueduc, se nommait "moulin à recense de Saint Vérédème". Il a été partiellement détruit en 1925 pour la construction des arènes. Seule subsiste la maison attenante qui correspond à l'ancien bâtiment principal du moulin.

Question L : Combien de lettres composent le mot anglais tagué sur le mur perpendiculaire à l'aqueduc ? L = nombre à 1 ou 2 chiffres.

Cache Finale

Pour trouver la cache finale, vous devez à présent entrer, dans le 1er checkeur "CERTITUDE" ci-dessous, la séquence chiffrée (dans l'ordre) obtenue en répondant aux 12 questions précédentes. Cette séquence ABCDEFGHIJKL est composée de 18 chiffres. Dans le checkeur, vous obtiendrez ainsi des coordonnées qui vous indiquerons l'emplacement d'une étape intermédiaire qui vous révèlera un "nombre indice" nécessaire à la découverte de l'emplacement de la boite finale. On vous laisse découvrir et agir (inutile de casser ou démolir, soyez perspicace, c'est tout simple).

Vous devrez ensuite additionner ce "nombre indice" à chacun des 3 derniers chiffres des coordonnées N et E dévoilées dans le 1er checkeur "CERTITUDE" ci-dessus. Vous obtiendrez alors de nouvelles coordonnées fictives qui seront à valider dans le 2nd checkeur "GEOCHECK" ci-dessous. Ce checkeur vous révèlera l'emplacement de la cache finale.

Merci, dans la mesure du possible, de ne pas donner de commentaires ni de photos trop explicites de la cache finale, pour laisser le plaisir intact aux suivants. Et merci de tout remettre en place avec soin.

Podium

Sources internet et bibliographique :

http://www.tourisme-eyguieres.com/index.php?show=visite
http://www.pays-arles.org/e-patrimoine/communes/eyguieres/
http://leblogdetoinon13.canalblog.com/archives/2014/04/30/29756761.html
http://www.petit-patrimoine.com/
http://patrimoine-de-france.com/bouches-du-rhone/eyguieres/fontaine-publique-5.php
"Cahier de recommandations architecturales urbaines et paysagères – Eyguières : Identité et patrimoine local" – CAUE des Bouches du Rhône – Marseille.
"L'Eau d'Eyguières au fil du temps" – Daniel GLIZE – Editions Au Verso.
Association "Chemins du Patrimoine" – 06.18.71.53.12 : http://cheminsdupatrimoine.pagesperso-orange.fr/
Circuit "Eyguières au fil de l'eau" de l'Office du Tourisme.

Additional Hints (Decrypt)

Fhvirm yrf vafgehpgvbaf qnaf yrf 2 purpxrhef. N gbhgrf yrf égncrf, erfcrpgrm yrf yvrhk, ar qézbyvffrm evra, p'rfg vahgvyr. Ovra erzrgger yn obvgr ra cynpr, ovra pnzbhsyér, cbhe nffhere fn ybatéivgé, zrepv ! Rasva, éivgrm qr qbaare qrf pbzzragnverf rg cubgbf gebc rkcyvpvgrf qr yn pnpur svanyr, cbhe ynvffre yr cynvfve vagnpg nhk fhvinagf ! ZREPV !

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)