Les communes de Loire-Atlantique est une série de caches particulières construites grâce à la collaboration entre les géocacheurs.
Basé sur la participation volontaire, le principe de la série est simple : le premier qui le désire se propose pour poser une cache dans la ou les communes de son choix, selon les préconisations suivantes :
- Le nom de la cache posée commencera par "Communes de Loire-Atlantique : " suivi du nom de la commune de Loire-Atlantique où elle est située.
- Il n'y a aucun ordre particulier à suivre
- Il n'est pas nécessaire d'avoir trouvé une cache de la série pour réserver la commune de votre choix, à condition que celle-ci ne soit pas déjà attribuée et en préparation.
- Il n'y aucune limitation de taille, difficulté, terrain ou type
Il sera parfois nécessaire de procéder à quelques abréviations, par exemple comme ceci :
- Saint deviendra St
- ou encore comme dans cet exemple : "Commune Loire-Atlantique:GRANDCHAMPS-DES-FONTAINES"
En Loire-Atlantique, il y a 221 communes, à vous de jouer...
Pour réserver votre commune, mettre à jour votre contribution sur cette carte et faire entrer votre cache dans la liste des signets, merci d'envoyer un mail à cette adresse dédiée à la série :
communes.loire.atlantique@gmail.com
Par retour de courriel, nous vous adresserons le code html pour la série "Les communes de Loire-Atlantique"
Nous sommes heureux d'étendre à la Loire-Atlantique, l'idée originale d'ATMO Studio que nous remercions sincèrement pour son aide. La première série "Les communes de Vendée" est née non loin de La Roche sur Yon, à Nesmy .
Il était une fois Saint-André des Eaux
Entre mer et Brière, un coin de terre te sourit...
Saint-André des Eaux doit une part de son nom à l’originalité de sa situation, entre « les eaux » : l’eau douce du marais de la Grande Brière Mottière, copropriété indivise des Andréanais et des habitants des 20 autres communes limitrophes depuis 1461, et l’eau salée de l’océan Atlantique.
Quelques vestiges de la préhistoire subsistent (dolmens et menhirs). Les traces d’une importante civilisation à l’époque gallo-romaine sont évidentes, tuiles et briques, silex, bijoux et amphores ainsi que la toponymie des villages et leur terminaison en « ac » qui témoignent de la présence de nombreux domaines agricoles. De l’occupation des Bretons au Vè et VIè siècles, il ne reste que le nom de plusieurs villages tels que Arlo, Cabéno, Tréhé et Brenoguen.
Le nom de Saint-André apparaît au Moyen Age et est attaché à une chapelle vouée au saint.
Au début du XVè siècle des prêtres guérandais fondent la paroisse qui portera le nom de Saint-André-lès-Guerande. La ville n’existe toujours pas au cœur de l’époque féodale. Au début du XVIIIè siècle apparaît le nom de Saint-André des Eaux.
La Révolution n’aura guère d’emprise sur la population, les Andréanais, royalistes et catholiques, tenteront de s’opposer aux lois républicaines.
Au XIXè siècle l’agriculture se développe sensiblement au détriment des métiers du textile (soie et coton).
Une nouvelle église s’édifie au nord du bourg à l’aube du XXè siècle.
La commune a été au fil des siècles sous l’influence permanente de la religion. Les deux calvaires qui s’élèvent aux entrées du bourg en sont le symbole.
Habitation typique des zones de marais, la chaumière doit sa présence à l’existence des matériaux indispensables à son édification : roseaux, bois de mortas et la pierre. Ces fermes couvertes de chaume constituent l’ossature du Bourg.
Pendant la 2ème guerre mondiale, les troupes d’occupation s’installent et réquisitionnent des locaux. Les bombardements de février 1943 n’épargneront pas Saint-André des Eaux, civils tués, fermes sinistrées, maisons détruites… La poche de Saint-Nazaire sera libérée le 11 mai 1945…
Ce texte est entièrement emprunté à l'office de tourisme de Saint-André-des-Eaux