Inspiré de "séries participatives" existantes voici l'alphabet du Val d’Oise.
L'alphabet du Val d'Oise:
Le principe est simple :
Si vous trouvez l'idée d'une série sympathique libre à vous de poser la cache de la lettre suivante. Vous pouvez - si vous le souhaitez- faire connaître que vous allez placer la cache de la lettre suivante par une note sur la page la cache en cours, ainsi ceux qui adhérent à cette idée de série le sauront et ne viendront pas en doublon sur le placement.
Cette série complète pourrait donc comporter un jour 26 caches ! Mais qui dit série peut aussi suggérer l'envie d'une cache bonus !
Si vous trouvez ces idées intéressantes alors pour donner un air de famille chaque cache de cette série aurait trois points en commun:
- la référence à une lettre de l'alphabet,
- la localisation dans le Val d'Oise,
- un indice dans le logbook.
Les placeurs peuvent copier-coller s'ils le souhaitent la partie présentation de la série de cette cache.
Un géocacheur ayant trouvé les 26 caches et donc les 26 indices et souhaitant placer la bonus peut se faire connaître par une note sur la cache lettre Z.
La liste des caches existantes ou prévues est tenue à jour sur la page de la lettre A:
Accrobranche lettre A alphabet du Val d'Oise
Et voici la 22ème de la série, lettre V: Vignes d'Ermont
Historique
Les vignes existaient bien avant la guerre de Cent Ans, mais nous ne pouvons évaluer leur importance.
A la Révolution, elles occupent encore le tiers de la surface cultivable, soit 107 hectares environ.
Les vignes arrachées sont remplacées par des arbres fruitiers. En 1893, la superficie des vignes plantées n’est plus que de dix hectares. Elles tendent si bien à disparaître qu’en 1949, un hectare seulement sur les 416 du territoire est encore couvert de vignes.
Elles avaient totalement disparu sauf chez un Ermontois, M. Jouan, qui avait conservé dans son jardin quelques pieds de vigne.
Un renouveau
La tradition viticole est ancienne à Ermont. Depuis 1986, deux parcelles de vigne sont entretenues sur la commune dont une, située rue du 18 Juin, a appartenu à M. Jouan. La deuxième parcelle se trouvant en bas de la rue Parmentier.
Clôturée, la vigne a fait l'objet d'un renouveau complet en 1997. Avec l’aide d’un œnologue, le cépage le bako -vigne d’origine-, a été changé en faveur d’un cépage de Pinot noir, pour une meilleure qualité du vignoble.
En 2002, 650 pieds de vigne ont été plantés. Le travail de vinification est fondé sur la qualité, préférée à la quantité. 50 litres sont mis en bouteille chaque année.