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VAL D'IZE BONUS Mystery Cache

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sartor35: Cache archivée pour un nouveau projet

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Hidden : 4/27/2014
Difficulty:
1.5 out of 5
Terrain:
1.5 out of 5

Size: Size:   other (other)

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Geocache Description:


Série de 6 caches + 1 bonus pouvant se faire à pied qui vous permettra de faire découvrir mon village 
(je peux vous accompagner si vous le désirez, n'hésitez pas à me contacter)
 
Possibilité de faire une boucle avec la Croix des chemins à Val d'Izé (GC4128H) 
 
 
Parking conseillé N 48° 10.612 W 001° 18.148 

 

 

Origine :
Le Val-d'Izé, appelé Izé jusqu'en 1908, recevait parfois le nom de Saint-Étienne-des-Eaux, à cause du marais qui l'avoisine.
Il était paroisse dès le XIe siècle, son église appartenait à l'abbaye de Saint-Florent de Saumur, qui y fonda un prieuré. La paroisse de Val d'Izé dépendait autrefois de l'ancien évêché de Rennes. L'ancien prieuré Saint-Étienne d'Izé existait dès le XIe siècle, les papes Calixte II en 1122, Innocent II en 1142 et Urbain III en 1186, confirmèrent successivement l'abbaye de Saint-Florent dans la possession de l'église d'Izé (Val-d'Izé) et de ses deux chapelles de Saint-Martin et de Notre-Dame-de-la-Moisson. Val-d'Izé renfermait également avant la Révolution la trève de Landavran (érigée en paroisse en 1826).

La Chouannerie dans le pays de Val-d'Izé
Pendant la Révolution française, la commune fut un des théâtres des guerres de la Chouannerie. Les habitants d'Izé étaient acquis à la cause des Chouans, une compagnie d'Izéens fut formée dirigée par le capitaine Legendre et secondée par les lieutenants Pierre Masson, Pierre Gendrot, Étienne Bouvy. Elle servit au sein de la colonne de Henri du Boishamon, colonne qui prit même le nom de la commune.

Une première escarmouche se déroula lors de l'été 1795, un petit groupe de 18 chouans dirigés par Joseph du Boishamon, frère de Henri, qui occupaient le bourg d'Izé furent attaqués par 50 soldats républicains venus de Vitré. Inférieurs en nombre les Chouans durent s'enfuir mais sans subir de perte en revanche les républicains eurent deux tués et un blessé.
À Izé, la lutte fut particulièrement vive contre les habitants républicains de Dourdain. Ceux-ci, ayant fortifiés leur bourg, effectuèrent plusieurs descentes sur Izé. Au cours de l'une d'elle, en novembre 1795 deux chouans d'Izé furent pris et fusillés, en représailles, les lieutenants-colonels Boishamon, Pontbriand et Pierre Rossignol rassemblèrent près de 1 000 hommes et lancèrent une offensive sur Dourdain. Les patriotes, très inférieurs en nombre, abandonnèrent rapidement l'église et le cimetière où ils s'étaient retranchés, ils opposèrent une courte résistance au château du Plessis-Pillet puis prirent la fuite.
En janvier 1796, une troupe de 800 soldats républicains commandés par le général Jean Humbert essuya des tirs près de la lande d'Izé. Les chouans, n'étant que 150, décrochèrent rapidement. Un chouan et quatre républicains, dont le commandant Joré, furent tués lors de ce combat.

Première Guerre mondiale
Pendant la Première Guerre mondiale (1914-1918), comme beaucoup de villes et villages français, Val d'Izé a payé un lourd tribu par cette guerre, puisque 421 izéens seront mobilisés, 78 y laisseront leurs vies dont 26 seront déclarés disparus, à jamais ensevelis dans les tranchées et les trous d'obus. Le 6 août 1922, en souvenir de ces héros morts au combat, Val-d'Izé inaugure un magnifique monument aux morts [1](monument en forme d'arc de triomphe avec en son centre un poilu courant vers la victoire), œuvre de l'architecte Charles Couasnon. Dans l'église Saint-Étienne, on y ajoutera également la chapelle Saint-Michel, dédiée aux Izéens morts pendant les deux guerres de 1914-1918 et 1939-1945.

Seconde Guerre mondiale
Pendant la Seconde Guerre mondiale (1939-1945), de nombreux izéens furent mobilisés en 1939, 5 d'entre eux y laisseront leurs vies, leurs noms sont inscrits sur le Monument aux morts, pour les autres, beaucoup furent fait prisonnier en Allemagne, travaillant dans les usines et dans les fermes allemandes, ils seront libérés en 1945, après 6 années de captivité.
Parmi les victimes de cette guerre, Jean Hervagault, Caporal au 610e Régiment de Pionniers, il est fait prisonnier par les allemands lors de la bataille de la Somme en juin 1940, pendant qu'il est conduit à Montididier, il tente de porter secours à un camarade blessé sur le bord de la route, malgré les ordres de la sentinelle SS qui lui ordonne de rentrer dans les rangs, il refuse de laisser son camarade mourant, alors c'est le drame, aussitôt il est fusillé par les allemands, enterré sommairement sur place, il est porté disparu, sa famille restera sans nouvelles, ne savant même pas ou il est inhumé, il faut attendre le 18 mai 1994, 54 ans plus tard, pour que son corps soit retrouvé par un retraité retournant la terre d'un délaissé de son jardin, il est formellement identifié grâce à quelques objets personnels dont une montre gousset portant son nom. Après une cérémonie militaire à Montididier en présence des autorités officielles et des anciens combattants, son corps est ramené au Val d'Izé ou sont célébré le 11 juin 1994 ses obsèques religieux en présence de ses trois enfants, de sa famille et d'une nombreuse assistance, suivi ensuite de l'inhumation au cimetière de Val d'Izé.
Prise d'otages du 13 juillet 1944 à la Haie d'Izé. À la suite de l'attaque d'une voiture légère de l'armée allemande par les maquisards, deux des trois occupants furent tués et le chauffeur grièvement blessés, ce véhicule qui précédait un long convoi de soldats de la Wehrmacht, se dirigeait vers le front de Normandie, aussitôt une trentaine d'hommes du Val-d'Izé furent pris en otages et menacés d'être fusillés par les allemands dans la cour du château de la Haie d'Izé, ce fut grâce à l'intervention du Maire de l'époque, Joseph Aubert, que leurs vies purent être sauvées.

Langue bretonne et gallèse
Au niveau linguistique, la langue traditionnelle passée a toujours été le gallo et on n'y a jamais parlé le breton. La toponymie de la région ainsi que les nombreux villages et hameaux, témoignent de l'influence romane et notamment angevine6. Les communes ayant un suffixe en -é (du gaulois -akum), ainsi que les villages aux suffixes -ais, -rie ou encore -ière, le prouvent également.


 

Pour trouver cette cache, vous devez préalablement trouver 6 autres caches sur val d'izé .

Val d'izé #1 Eglise ou mairie ? GC49668

Val d'izé #2 Eglise Saint Etienne GC4966F

Val d'izé #3 Vierge de val d ize GC4BHC4

Val d'izé #4 Croix de chemin en pierre GC4BHC5

Val d'izé #5 Chateau du bois cornille GC4966K

Val d'izé #6 centre culturel  GC53JDE


Ces caches vous fourniront un indice pour résoudre les coordonnées de la cache bonus :
 

N 48° 10.(A+B+C) W 001° 17.(D+E+F)

 

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Additional Hints (No hints available.)