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CATHEDRALE SAINT-LEONCE Traditional Cache

This cache has been archived.

miguaine: Bonjour,

Puisqu'il n'y a pas eu de maintenance dans un laps de temps raisonnable, cette cache est archivée.
voir aussi : https://www.geocaching.com/about/guidelines.aspx

Cordialement,
Miguaine - Groundspeak Volunteer Reviewer.

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Hidden : 11/14/2010
Difficulty:
1 out of 5
Terrain:
1 out of 5

Size: Size:   micro (micro)

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Geocache Description:


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Geocacheurs de Provence









Bonjour

La cathédrale de Fréjus, dédiée à Notre-Dame de l’Assomption a été consacrée à une date inconnue, dont on n’a conservé que le jour, le 22 septembre.

Cet édifice aux pierres de différentes couleurs, borde un côté de la place principale de la cité.

Il se compose de deux nefs, d’un baptistère et d’un cloître.

Origine de la construction

Après l’expulsion des Sarrasins vers l’an 975 l’évêque Riculphe, qui pendant l’occupation de son diocèse résidait au monastère de Montmajour où était venue l’atteindre sa nomination au siège de Fréjus, quitta son abbaye pour venir dans le diocèse libéré, mais où les ruines s’étaient accumulées. Il commença par réédifier la cathédrale détruite, se servant de ce qui était encore debout et s’efforçant de conserver au nouvel édifice les dispositions de l’ancien. Une charte du Comte Guillaume de 990 permettrait de penser qu’à cette date l’église était rebâtie. Il ne s’agirait alors que de la nef de saint Etienne, qui devait suffire à contenir le petit nombre d’habitants de la ville. Quant à la grande nef, les opinions diffèrent. Certains pensent que Riculphe en aurait fait élever les murs, qu’il aurait simplement fait recouvrir d’une charpente de bois , remplacée au XIIème ou XIIIème siècle par une ossature de pierres reposant sur les piliers massifs dressés contre les murs. D’autres pensent que Riculphe est l’auteur de l’abside, d’autres encore émettent l’avis que cette partie de l’église ne fut relevée que bien après l’évêque Riculphe et qu’il faudrait placer vers la fin du XIIème siècle la construction de l’édifice tel que nous le connaissons. D’autres comme Aubenas estime que la grande nef a été édifiée en premier lieu et que son bas côté n’aurait été ajouté que plus tard. C’est ce qu’écrit Mr Jules Formigé le restaurateur de la cathédrale, de son baptistère et de son cloître : "le bas- côté nord, voûté en berceau avec doubleaux, semble un peu plus récent que la nef". Ces différences d’opinion font bien ressortir la difficulté d’assigner une date à ce monument.

Architecture

La grande nef porte une voûte à croisée d’ogives dont les nervures carrées tombent sur des piliers massifs. Au fond s’enfonce une vaste abside en cul-de-four précédée d’un arc triomphal.
La nef est longée par un collatéral, dit nef de saint Etienne qui servait jadis aux offices paroissiaux, alors que l’autre était destinée aux offices pontificaux ou capitulaires.
Entre la nef principale et la galerie extérieure qui sert de porche, on traverse un haut vestibule couvert d’une voûte soutenue par quatre énormes piliers, qui servent aussi de base à la tour du clocher. Cette partie de l’édifice constituerait le narthex.
Sur les piliers du vestibule s’élève le clocher qui fait face à la tour crénelée qui couvre l’abside.
Jadis la face Sud portait un cadran solaire avec une devise, disparu lors de la restauration des années 1926-1930.
Depuis sa reconstruction au début du premier millénaire, la cathédrale a fait l’objet de nombreuses restaurations. Dans le premier quart du XVIème siècle, le sol des deux nefs fut relevé, à cause de l’humidité. Le clocher fut rehaussé par une tour octogonale et surmonté d’une flèche aux carreaux vernissés, enfin le portail reçut une décoration au gothique flamboyant. Le clocher comporte quatre alvéoles qui abritent chacune une cloche : une fut donnée par Jean XXII en 1303 et baptisée Saint-Léonce. Elle est la plus volumineuse et après une refonte en 1770 elle a pu parvenir jusqu’à nous.
Au XVIIème siècle deux tribunes furent édifiées de chaque coté du sanctuaire : une pour y placer l’orgue, l’autre pour la maison épiscopale. Elles ont disparu au cours de la restauration de 1965. L’orgue actuel se trouve coté Sud de la cathédrale.


Les dépendances du bâtiment

La cathédrale comportait des dépendances, le baptistère, le cloître et le palais épiscopal.
Le baptistère est en dehors de l’église ; on y accède par une porte, au portail en fer forgé, don du cardinal de Fleury. Selon l’architecte Formigé qui en a assuré la restauration, ce monument remonterait à la fin du VIème siècle ou au commencement du Vème. C’est une sorte de rotonde de 8 mètres de diamètre couverte d’une coupole que soutiennent huit colonnes surmontées de chapiteaux corinthiens. Au centre se trouve la piscine baptismale qu’entourent quelques fûts de colonnes du ciborium qui le recouvrait. Cet édifice a été restauré en 1930.

Le cloître qu’on fait remonter au XIIIème siècle se compose de quatre galeries s’ouvrant sur une cour intérieure ; sur son pourtour se dresse une suite d’arcades gothiques aux fines colonnettes de marbre. Au-dessus de la partie centrale s’étend une nouvelle galerie, aux arcades romanes : c’est sans doute tout ce qui reste de l’ancien étage et du cloître supérieur.
Au XXème siècle, les Beaux-Arts remettent en son état primitif le baptistère, débarrassent le cloître et mettent à jour de merveilleuses colonnettes.
De 1960 à 1965 cette administration porte ses efforts sur la cathédrale elle-même en décapant les pierres et en faisant disparaître tout ce que les siècles avaient apporté de surcharges. A l’intérieur nous trouvons une rangée de stalles à la décoration sobre qui longe le pourtour de l’abside où elles furent placées en 1441 et restaurées en 1964.
Aux murs des toiles centenaires : le triptyque de sainte Marguerite, peinture sur bois de Jacques Duranti peintre Niçois (1450), le tableau de l’Assomption, un autre représentant la Sainte Famille (1561) de Saturnus Romanus. Depuis 1958, date du transfert du siège épiscopal à Toulon, l’église de Fréjus a reçu le titre de co-cathédrale.

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Fréjus Cathedral, dedicated to Our Lady of the Assumption was dedicated to an unknown date, which have been preserved that day, September 22.

The building stones of different colors, borders one side of the main square of the city.

It consists of two naves, a baptistery and a cloister.

Original construction
After the expulsion of the Saracens in 975 to Bishop Riculphe, who during the occupation of his diocese residing at the monastery which came Montmajour reach his appointment at the headquarters of Frejus, left his monastery in the diocese to come released, but where the remains had accumulated. He began rebuild the cathedral destroyed, using what was still standing and trying to keep the new building of the old provisions. A charter of Earl William of 990 would suggest that to date the church was rebuilt. It would then be that of the nave of St. Etienne, which was sufficient to contain the small population of the city. As to the great nave, opinions differ. Some think Riculphe would have erected the walls, he would have simply been covered with a wood frame, replaced the twelfth or thirteenth century by a framework of stone resting on massive pillars stood against the walls. Others think Riculphe is the author of the apse, and others emit the opinion that this part of the church was not raised until well after the bishop Riculphe and should be placed toward the end of twelfth century construction of the building as we know it. Others like Aubenas estimates that the nave was built first and that its bottom side would have been added later. So writes Mr Jules Formigé the restorer of the cathedral, the baptistery and its cloister: the north aisle, vaulted with barrel-arches, seems a little newer than the nave. These differences of opinion are clearly indicates the difficulty of assigning a date to the monument.
Architecture

The nave is a ribbed vault with square ribs fall on massive pillars. Sinking to the bottom a large apse dead-furnace preceded by a triumphal arch.
The nave is flanked by an aisle, nave of St. Stephen said that once served as parish offices, while the other was for offices or papal Chapter.
Between the nave and the outer gallery which serves as a porch, you pass through a high hallway covered with a canopy supported by four massive pillars, which serve as the basis for the bell tower. This part of the building would be the narthex.
On the pillars of the hall stands the tower facing the crenellated tower covering the apse.
Formerly the South face wore a sundial with a motto disappeared when restoring the years 1926-1930.
Since its reconstruction in the early first millennium, the cathedral has undergone many restorations. In the first quarter of the sixteenth century, the land of the two ships was relieved, because of moisture. The tower was heightened by an octagonal tower and a spire with glazed tiles, the gate finally received a decoration in Gothic. The tower has four slots that each housing a bell: one was given by John XXII in 1303 and named Saint-Léonce. It is the most voluminous and after a refit in 1770 she managed to survive.
In the seventeenth century, two forums were built on each side of the sanctuary: a place for the organ to the other for the episcopal residence. They disappeared during the restoration of 1965. The present organ is located south side of the cathedral.

Dependencies of the building

The cathedral consisted of the dependencies, the baptistry, the cloister and the bishop's palace.
The baptistry is outside the church and can be accessed by a door, wrought iron gate, a gift from Cardinal Fleury. According to the architect who carried Formigé restoration, this monument dates back to the late sixth century or the beginning of the fifth. It is a sort of rotunda of 8 meters in diameter covered with a dome that support eight columns with Corinthian capitals. In the center is the baptismal pool qu'entourent few shafts of columns that covered the dome. This building was restored in 1930.

The cloister is done back in the thirteenth century consists of four galleries open onto a courtyard, stands on its periphery a series of Gothic arches with fine marble columns. Above the central portion extends a new gallery, with Romanesque arches: it's probably all that remains of the old floor and the upper cloister.
In the twentieth century, the Beaux-Arts in recovering its original state the baptistery at removing the cloister and update of wonderful columns.
From 1960 to 1965 this administration is working on the cathedral itself by scraping the stones and by removing all the centuries had brought loads. Inside we find a row of stalls in the sparsely decorated along the perimeter of the apse where they were placed in 1441 and restored in 1964.
Paintings on the walls of centenarians: the triptych of Saint Margaret, painting on wood artist Jacques Duranti Nice (1450), painting of the Assumption, another representative of the Holy Family (1561) of Romanus Saturnus. Since 1958, the date of transfer of the episcopal see at Toulon, the Church of Frejus was named co-cathedral.

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Additional Hints (Decrypt)

Qnaf yr zhe qr yn wneqvavèer

Decryption Key

A|B|C|D|E|F|G|H|I|J|K|L|M
-------------------------
N|O|P|Q|R|S|T|U|V|W|X|Y|Z

(letter above equals below, and vice versa)