Fort et batteries de Montgilbert # 1 : Batterie de Foyatiet
1870-1900 : la situation tendue entre la France et l’Italie imposera dès 1875 la construction d’une série de forts destinés à stopper la progression éventuelle d’une armée en basse Maurienne. Cet ensemble fortifié comprenait 11 ouvrages répartis sur la rive droite de l’Arc (fort d’Aiton, fort de Montperché…) et sur la rive gauche (fort de Montgilbert, batterie des Plachaux et 4 blockhaus). Le tout constituant la place de Chamousset.
Le fort de Montgilbert (1877-1883) constituait, avec ses 12 canons, le pivot défensif du site. Il assurait la protection de la batterie des Plachaux, du col de Montgilbert, et même de certains ouvrages de la rive droite. Il pouvait accueillir presque 500 soldats, possédait une infirmerie de 20 lits et assurait ses besoins en eau grâce à deux citernes d’une capacité totale de 350 m3. Il communiquait avec les forts de Grenoble par télégraphe optique.
L’artillerie de la batterie des Plachaux (1877-1883) contrôlait les passages des Grand et Petit Cucheron.
Les blockhaus (ou batteries) de Roquebrune, Tête Lasse, Ste Lucie et Foyatier (1881-1883) étaient destinés à empêcher l’installation des troupes italiennes sur la ligne de crête surplombant le fort.
Cet ensemble fortifié n’a jamais connu la guerre et a été entretenu jusqu’en 1940.
Je vous propose une série de 7 caches sur le site de Montgilbert. Dans le carnet de chacune des 6 premières, vous trouverez un indice à collectionner pour la 7ème : le bonus.
L’ensemble peut être parcouru à pied ou à VTT.
Le départ peut se faire de multiples endroits : Le plus simple est de garer votre cachomobile au dessus du hameau de Montendry (accès par Chamoux sur Gelon, voir waypoint). Il est également possible d’accéder depuis la Maurienne (musée des Hurtières, salle des fêtes du Grand Montgilbert), ou depuis le col du Grand Cucheron, mais l’approche est plus longue.
Vous pouvez rechercher les caches dans l'ordre que vous voulez.
Vous recherchez un bocal de 6 X 10 cm